Pour les douces violences, c'est parfois le sentiment d'entrave ou de surprise ou de contrainte sans qu'on ait l'impression de faire mal.
Pour le bavoir sous l'assiette, j'imagine que ça entrave le besoin de bouger de l'enfant. Mes accueillis dansent sur leur chaise haute, ça gigote
.
Pour d'autres exemples souvent cités comme la cuillère qui racle la purée, c'est le contact physique sans être prévenu, pareil pour le nez à essuyer.... C'est le fait de pas être prévenu et être touché qui peut être mal vécu.
Dernièrement j'ai été surprise que l'ophtalmologue me touche aux niveaux des yeux. Ce n'est pas violent ou déplacé mais il aurait juste fallu que je sois prévenue pour mieux le vivre .