Syndrome du nid vide … départ des enfants

@Baba au rhum ma grande m'a fait un peu le même coup que ton fils.
Nous avions prévu qu'elle aurait pendant un an la voiture pour ses gardes (elle est externe en médecine) et que le reste du temps c'était co-voiturage avec son papa, puis que nous envisagerions l'appart. Elle nous a devancé pour l'appart, pour moi c'était prématuré et une dépense inutile, nous y avons mis des conditions (notamment qu'elle finance elle-même une partie du loyer); devant sa détermination et ayant trouvé la perle rare comme appart nous avons accepté. Au final je ne le regrette pas, elle a trouvé son équilibre car comme moi à son âge elle avait besoin d'indépendance.
 

@Baba au rhum ma grande m'a fait un peu le même coup que ton fils.
Nous avions prévu qu'elle aurait pendant un an la voiture pour ses gardes (elle est externe en médecine) et que le reste du temps c'était co-voiturage avec son papa, puis que nous envisagerions l'appart. Elle nous a devancé pour l'appart, pour moi c'était prématuré et une dépense inutile, nous y avons mis des conditions (notamment qu'elle finance elle-même une partie du loyer); devant sa détermination et ayant trouvé la perle rare comme appart nous avons accepté. Au final je ne le regrette pas, elle a trouvé son équilibre car comme moi à son âge elle avait besoin d'indépendance.
Une belle décision alors de sa part . Il faut aussi leur faire confiance c’est vrai 🥰
 
Bonjour, perso je vis très mal le depart de mes enfants. Je pense que cela est dû au fait que j'ai perdu un de mes fils à l'age de 18 ans. Mon aîné est tres independant, il est parti de la maison à 19 ans il a maintenant 35 ans, il est papa, je le vois de temps en temps et on s'envoie des messages. Ma fille a quitté la maison à 25 ans, elle n'osait pas partir de peur que je le vive mal. Au debut ça a été elle avait pris une petite maison à 100m de chez moi. Elle venait manger tous les soirs, ça m'allait bien. Là elle est en couple à une cinquantaine de km mais on se voit 2 à 3 fois par semaine...mais quand elle part en vacances ou weekend, elle me dit quand elle arrive, sinon elle sait que je stresse.
Mon dernier qui a 26 ans est toujours à la maison (enfin plus ou moins) il fait construire, cela m'arrange😁. Mais lui c'est pire, quand il part au boulot le matin il me previent qu'il est bien arrivé (c'est à 15 mn de la maison). Et meme chose quand il part en week-end ou en vavances.
Je sais que bientôt il va aussi quitter le nid, au debut ça ira peut etre car il fait construire à 200m de la maison, mais il ne bivra plus avec moi😔. Ensuite nous on sait que l'on partira d'ici, car maison trop grande quand je serai a la retraite... Alors on verra. Je partage énormément de choses avec lui, dont l'amour pour la F1, on va à la piscine ensemble, tous les samedis matin au marché, ect...Il a une petite copine, et je l'accepte c'est normal. Tout ce que je veux c'est que mes enfants soient heureux dans leur vie. Professionnellement ils ont reussi...Mais j'ai toujours peur pour eux. ..
De toute façon je suis d'un tempérament anxieux et stressé. Et à cause de çà je ne suis jamais bien dans ma peau..
 
C'est en effet une étape dans notre vie.
Ma grande a eut la gentillesse de faire d'abord 2 années d'internat où elle rentrait tous les WE avant de partir à 1000km pour étudier et mener sa vie.
Ca nous a préparé car elle est d'un temperament très "pétillant" alors son absence ne passe pas inaperçue.
Je dirais que ce que j'ai le plus mal vécu quand elle est partie à l'autre bout de la France c'est qu'étant avertie un peu à la dernière minute de ce projet qui s'est confirmé c'est que je n'ai pas osé demandé une semaine de congés à une date que je savais compliqué pour mes PE.
Je suis restée pragmatique, raisonnable, en laissant mon mari l'accompagner, considérant qu'il serait lui plus utile que moi pour l'installer dans son premier appartement.
C'était une erreur.
J'aurais du écouter mon besoin d'y aller avec même si je ne servais pas à grand chose sur place car j'ai beaucoup pleuré jusqu'à comprendre que ça avait été comme de me priver d'assister de l'accompagner à sa toute première rentrée scolaire, ça aurait été impensable, n'est ce pas?!
Alors oui raisonnablement elle n'avait pas besoin de moi mais j'ai réalisé que moi j'avais besoin d'être là et que ce besoin en valait bien un autre.

Là notre second vient de partir pour 2 mois et demi étudier à Montréal (mon Pays!), cela nous prépare car il prévoit de partir emménager avec sa compagne à 300km à la fin de l'été.
Il était déjà partie à Barcelone l'année dernière et curieusement c'est quand je l'ai accompagné lui au train que j'ai réalisé que ma grande était partie... pourtant depuis plus de 2 ans!
Le nid vide sans doute.

Comment gérer ce virage?
Réaliser que nous pouvons nous accorder à nouveau le droit de manger à pas d'heure et n'importe où, de se promener tout nu chez nous et surtout, SURTOUT admettre que nous restons leur Parents, comme ils restent nos enfants, qu'ils continuent d'avoir besoin de nous mais différemment.
Comprendre que la tristesse est acceptable car en la laissant s'exprimer, s'écouler, elle passera, evitera de rester bloquée en nous, que la tristesse est l'émotion qui se produit quand on comprends qu'on perd quelque chose mais surtout qui permet de faire la place à autre chose. Ne pas avoir peur de ses emotions.
Ensuite on peut aussi s'inquiéter de son rapport à son mari, surtout si on a tout misé sur notre role parentale, il faut retrouver notre role amoureux d'avant nos bébés, en trouvant des activités chouettes qu'on partagera... pour nous c'est le sport, la marche et la MOTOOO!
 
@Griselda tu as raison de parler de rapport avec notre conjoint. Et çà moi c'est une chose que je n'arrive pas a faire. J'ai tellement vecu pour mes enfants, ils sont pour moi le centre de mes intérêts. Je n'arrive pas à revivre heureuse qu'avec mon mari. Même lorsque l'on part tous les deux en week-end ou en vacances, il me manque quelque chose. Dans 3 semaines on part une semaine en Corse. On verra ce qu'il en ait. ...
 
En prenant l exemple de ma fille , même si pour moi son départ a été dur , c est surtout le faite qu elle soit dans un autre pays qui me chagrine le plus . Pour elle son départ a été très bénéfique , sur son moral et ça santé
En 2017 ma fille a commencé à faire des crise de péricardite sèche , c est très douloureux , puis 1 , puis 2 , puis 3 ..... Les crises se sont enchaînés, les traitements aussi , tramadol , morphine ..... Elle a fait quelques examens pour éliminer cancer , lupus. .... Heureusement tous revenu négatif.
Ben ici en France il était démuni il ne savait pas pourquoi ma fille enchaînait crise sur crise , il on fini par la mettre sous immunosuppresseurs, qui a très bien fonctionné car depuis plus de crise, mais c est une cochonnerie se traitement.
En Angleterre en 3 mois il on trouvé de quoi ma fille souffrait, elle a une maladie heriditaire
 
@Griselda tu as raison de parler de rapport avec notre conjoint. Et çà moi c'est une chose que je n'arrive pas a faire. J'ai tellement vecu pour mes enfants, ils sont pour moi le centre de mes intérêts. Je n'arrive pas à revivre heureuse qu'avec mon mari. Même lorsque l'on part tous les deux en week-end ou en vacances, il me manque quelque chose. Dans 3 semaines on part une semaine en Corse. On verra ce qu'il en ait. ...
Ah Petuche, si seule avec ton mari, il te manque quelque chose, que tu appréhendes un voyage à deux, alors ne laisse pas le feu s’éteindre, souffle sur les braises de toute ta force si l’AMOUR est toujours là.
Le départ des enfants de la Maison est le moment idéal essayer de repenser au bon temps avant leurs naissances et de vivre une complicité.
Allez tout va bien se passer dans l’Île de Beauté: il va te redemander en MARIAGE 🤣
 
Oui préserver des moments pour son couple c’est important souvent ou Soulie en tant que partenaire aspiré dans la spirale de la vie boulot gamins etc .
Merci pour vos partages à toutes . 🥰
 
@Griselda , on part la semaine de la Pentecôte. On prend l'avion (si j'y arrive ) 😩.
On va à Cargese, pays de Colonna. ...et on fait le sud corse. ..
 
@Nounou-22
La première fois que ma fille m'a raconté par messenger, une semaine plus tard, qu'elle avait eut une vilaine grippe avec grosse température, j'ai fondu en larme en l'imaginant seule dans son lit à gerer sa température, seule, sans moi à 1000km, pourtant je suis la pire infirmière qu'il soit car quand mes enfants sont malades je me retiens de leur demander toutes les 3 minutes comment ils se sentent, me retient jusqu'à 5 - 10 minutes max alors qu'ils auraient besoin que je leur foute la paix.
Un an après nous partons pour un grand WE à 300km et quand nous rentrons je découvre que mon fils, encore à la maison, n'avait pas jugé bon de nous avertir qu'il avait une grippe, il a geré seul sa temperature et même le lavage des draps ensuite... j'ai compris qu'ils ont tous les 2 grandis et que moi non plus je n'appele plus ma mère quand je suis malade!
 
Connais pas, la mienne est encore à la maison.
Je me prépare déjà à l' idée qu'un jour elle partira mais je pense que je le vivrai bien car elle partira bcp plus tard que moi qui suis partie à 17 ans.
Ma fille à 19 ans et demi aujourd'hui et elle n'est pas prête à partir définitivement.
 
@Jeanine1 tout le monde a peur en moto!
Je suis "piloteuse".
La différence entre une personne qui aime faire de la moto ou n'aime pas c'est la balance entre la peur et le plaisir.
Moi j'ai plus souvent du plaisir donc j'aime la moto.
J'aimais ça en tant que passagère.
En prenant le guidon le plaisir est X 2.
Et puis du coup je peux décider: si j'ai peur j'y vais pas!
Bon, ça c'est sur le papier parce que des fois tu sais pas à l'avance que ça va être effrayant mais une fois que tu y es faut bien s'en sortir.
Je suis connue pour être la Piloteuse la plus pleutre qui existe mais comme je déteste être enfermée-verrouillée dans ma crainte alors j'échafaude des plans pour vaincre ma peur.
Des fois ça marche... ou pas.
Je me souviens de ma première sortie en groupe alors que je débutais et était très mauvaise, une petite passagère est venue me voir à la fin de la journée (très éprouvante) et me dit: "Je t'admire beaucoup... parce qu'on voit que tu en chie mais tu ne lâche pas quand même!" Je me suis dit "V'là autre chose, je fais pitié maintenant?!", j'ai répondu que si je ne lâche pas c'est parce qu'une fois que j'y suis pour rentrer chez moi je n'ai pas le choix, qu'un jour j'aimerais bien qu'on m'admire parce que je gère, et que maintenant je vais péniblement rentrer chez moi prendre un bain chaud pour me détendre et sûrement pleurer un petit peu aussi...
Aujourd'hui si je ne passe pas inaperçue au guidon de ma machine ce n'est toujours pas parce que je gère (même si j'ai beaucoup progressé) mais que j’étonne... tant pis, je fais de la moto pour mon plaisir et non pour l'image que je renvoie sinon j'aurais arrêté depuis longtemps...
 
« …."V'là autre chose, je fais pitié maintenant?!", j'ai répondu que si je ne lâche pas c'est parce qu'une fois que j'y suis pour rentrer chez moi je n'ai pas le choix, qu'un jour j'aimerais bien qu'on m'admire parce que je gère….. »

Griselda, je te tire mon chapeau et j’admire toujours toutes les personnes qui font ce que moi je suis incapable de faire soit par peur ou soit parce que pas assez douée.
Moi, on va dire que c’est par peur parce ce qu’on peut toujours essayer d’apprendre quand on est motivé.
À l’âge de 20 ans, j’ai souvent été passagère et un jour j’ai voulu monter et je vois mon mollet collé sur le pot d’échappement, ma jambe droite toute bouillante avec une partie de la peau arrachée.
J’ai encore ce souvenir de 42 ans dans ma tête chaque fois que je vois une moto garée puisque la cicatrice indélébile est toujours là 10 cm de diamètre 😩
Depuis, je n’ai pas sû vaincre ma peur.

Moi je te dis Bravo et t’admire😂
 
Oh m... tu as du souffrir!

Mais pour avoir eut les 2 places, je suis bien plus effrayée derrière (en SDS) qu'au guidon car au guidon c'est moi qui décide comment j’accélère, comment je freine, comment je penche...
Si tu as été passagère c'est bien que ta peur n'est pas tant celle de la moto (au contraire!) mais de ne pas arriver à maîtriser toi même l'engin.
C'est plus une question de confiance dans tes possibilités que de peur de la moto et des sensations qu'elle procure.
La vérité c'est que justement ce qui fait parti du plaisir c'est de maîtriser l'engin, c'est grisant. Mais pas que...
Ce qui m'aide aussi à travailler ma confiance c'est l'asso de perfectionnement moto dans laquelle je suis depuis plusieurs années (la CASIM)
Et puis j'ai compris qu'à défaut d'être douée naturellement, je suis opiniâtre-tenace, c'est ça mon talent car je pense que je n'étais pas du tout faite pour faire de la moto, ce qui prouve que si je peux tout le monde peut.
Cette petite passagère avait sûrement un peu raison dans son analyse.

Concernant cette horrible brûlure et bien elle pourrait se produire même sans faire de moto à vrai dire.
Bien sur on sait beaucoup mieux aujourd'hui l'importance (cruciale) d'être bien équipé alors qu'il y a 42 ans ça ne traversait pas l'esprit et d'ailleurs il n'en existait que bien peu...

Allé, prochain défi de @Jeannine: prendre le guidon!
 
Mon aînée est partie à 600 kms un peu avant ses 18 ans pour ses études supérieures. J'ai pleuré pendant des jours et des jours. Grosse déprime ! Pourtant j'avais encire les 2 garçons à la maison mais il y avait un gros vide. Chaque fois que j'allais dans sa chambre ouvrir ou fermer les volets mes larmes coulaient. Chaque fois qu'elle rentrait en vacances j'étais super heureuse mais le jour du départ était encore un nouveau déchirement. A chaque fois qu'on la raccompagnait à la gare pour qu'elle reparte mes larmes coulaient toute seule et je n'arrivais pas à les contenir. Ça a duré 3 ans jusqu'à ce que mon fils parte aussi pour des études à 250 kms pour faire aussi ses études supérieures. Gros pincement au coeur aussi mais j'ai commencé à pouvoir prendre sur moi et je savais qu'il rentrerait souvent car il avait une copine donc ils rentrait tous les 15 jours. Et quand le 3e est aussi parti à 600 kms pour faire aussi ses études encore une très grosse boule au ventre mais moins de larmes. Je commençais à accepter tous ces départs. Mon dernier a changé beaucoup de région pour ses études. A chaque fois nous avons fait tous les déménagements de nos enfants et les retours de faisaient dans le silence tellement moi et mon mari en avions gros sur le coeur. Ça fait maintenant 5 ans que nous n'avons plus personne à la maison et au final nous apprécions de ne plus avoir de contrainte d'heures, de repas... Nous profitons l'un de l'autre et avons une autre vie. En fait nous nous retrouvons un peu comme nos années sans enfants. Nous profitons de chaque instant. Là nous sommes en route pour 1 semaine de vacances en camping car. Le bonheur !
Chacun vit ces moments de séparation différemment pour certain c'est un soulagement car l'ambiance à la maison n'est pas très bonne, pour d'autre c'est un déchirement !
 
Oh m... tu as du souffrir!

Mais pour avoir eut les 2 places, je suis bien plus effrayée derrière (en SDS) qu'au guidon car au guidon c'est moi qui décide comment j’accélère, comment je freine, comment je penche...
Si tu as été passagère c'est bien que ta peur n'est pas tant celle de la moto (au contraire!) mais de ne pas arriver à maîtriser toi même l'engin.
C'est plus une question de confiance dans tes possibilités que de peur de la moto et des sensations qu'elle procure.
La vérité c'est que justement ce qui fait parti du plaisir c'est de maîtriser l'engin, c'est grisant. Mais pas que...
Ce qui m'aide aussi à travailler ma confiance c'est l'asso de perfectionnement moto dans laquelle je suis depuis plusieurs années (la CASIM)
Et puis j'ai compris qu'à défaut d'être douée naturellement, je suis opiniâtre-tenace, c'est ça mon talent car je pense que je n'étais pas du tout faite pour faire de la moto, ce qui prouve que si je peux tout le monde peut.
Cette petite passagère avait sûrement un peu raison dans son analyse.

Concernant cette horrible brûlure et bien elle pourrait se produire même sans faire de moto à vrai dire.
Bien sur on sait beaucoup mieux aujourd'hui l'importance (cruciale) d'être bien équipé alors qu'il y a 42 ans ça ne traversait pas l'esprit et d'ailleurs il n'en existait que bien peu...

Allé, prochain défi de @Jeannine: prendre le guidon!

Oui prendre le guidon avec toi et uniquement avec toi🤣🤣🤣

Et pourtant, j’ai fait le circuit automobile du Vigeant pour le plaisir et fait le saut à l’élastique du Viaduc à 45 ans
La moto reste un obstacle pour moi grrr 😠
 
Mon aînée est partie à 600 kms un peu avant ses 18 ans pour ses études supérieures. J'ai pleuré pendant des jours et des jours. Grosse déprime ! Pourtant j'avais encire les 2 garçons à la maison mais il y avait un gros vide. Chaque fois que j'allais dans sa chambre ouvrir ou fermer les volets mes larmes coulaient. Chaque fois qu'elle rentrait en vacances j'étais super heureuse mais le jour du départ était encore un nouveau déchirement. A chaque fois qu'on la raccompagnait à la gare pour qu'elle reparte mes larmes coulaient toute seule et je n'arrivais pas à les contenir. Ça a duré 3 ans jusqu'à ce que mon fils parte aussi pour des études à 250 kms pour faire aussi ses études supérieures. Gros pincement au coeur aussi mais j'ai commencé à pouvoir prendre sur moi et je savais qu'il rentrerait souvent car il avait une copine donc ils rentrait tous les 15 jours. Et quand le 3e est aussi parti à 600 kms pour faire aussi ses études encore une très grosse boule au ventre mais moins de larmes. Je commençais à accepter tous ces départs. Mon dernier a changé beaucoup de région pour ses études. A chaque fois nous avons fait tous les déménagements de nos enfants et les retours de faisaient dans le silence tellement moi et mon mari en avions gros sur le coeur. Ça fait maintenant 5 ans que nous n'avons plus personne à la maison et au final nous apprécions de ne plus avoir de contrainte d'heures, de repas... Nous profitons l'un de l'autre et avons une autre vie. En fait nous nous retrouvons un peu comme nos années sans enfants. Nous profitons de chaque instant. Là nous sommes en route pour 1 semaine de vacances en camping car. Le bonheur !
Chacun vit ces moments de séparation différemment pour certain c'est un soulagement car l'ambiance à la maison n'est pas très bonne, pour d'autre c'est un déchirement !
Merci @Mana pour ton témoignage.
J’espère ne pas pleurer si longtemps 😅
je vous dirai comment je le vis 🤣
 
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