Griselda
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Tout a fait @kikine d'ailleurs dans les creches il a été noté qu'avec la demande de la CAF de faire preuve de tolerance jusqu'à 15 minutes, mais qu'ensuite l'heure est due entière il n'échappe pas au personnel de creche de constater comme nombre de PE sont d'une ponctualité extraordinaire: qui savent arriver pile avec 14 minutes de retard et sinon arrivent carrément avec 55 minutes de retard, mais pas entre deux.
Autant pour moi profiter des ARE pour se donner le temps de trouver le contrat qui correspond à ce qu'on cherche pour tenter de se garantir d'une bonne collaboration c'est OK autant je ne peux me résoudre à penser que c'est OK de m'octroyer une année sabatique payé par les ARE.
Je dois être un peu rococo mais je considère que si je veux une pause je me la finance moi même.
Que les cotisations (payées par la CAF pour nous et non par nous mêmes) au POLEmploi n'est pas censé payer des vacances mais bel et bien une perte involontaire de travail mais aussi de ne pas trouver un autre travail involontairement. Mais peut être suis je vieux jeu?
N'importe comment prendre cette décision suppose aussi qu'on a suffisament la certitude de retrouver des contrats au moment où on aura fini de se reposer, ou bien que le conjoint assurera financièrement autant que necessaire. Je reste convaincue que c'est un paris que tout le monde ne peut pas se permettre de prendre.
Par contre j'approuve l'idée que c'est un metier où il est particulièrement important de connaitre ses limites et de tout faire pour les respecter car alors on a plus de chance de faire des choix judicieux, ce qui est favorable AUSSI aux accueillis.
Autant pour moi profiter des ARE pour se donner le temps de trouver le contrat qui correspond à ce qu'on cherche pour tenter de se garantir d'une bonne collaboration c'est OK autant je ne peux me résoudre à penser que c'est OK de m'octroyer une année sabatique payé par les ARE.
Je dois être un peu rococo mais je considère que si je veux une pause je me la finance moi même.
Que les cotisations (payées par la CAF pour nous et non par nous mêmes) au POLEmploi n'est pas censé payer des vacances mais bel et bien une perte involontaire de travail mais aussi de ne pas trouver un autre travail involontairement. Mais peut être suis je vieux jeu?
N'importe comment prendre cette décision suppose aussi qu'on a suffisament la certitude de retrouver des contrats au moment où on aura fini de se reposer, ou bien que le conjoint assurera financièrement autant que necessaire. Je reste convaincue que c'est un paris que tout le monde ne peut pas se permettre de prendre.
Par contre j'approuve l'idée que c'est un metier où il est particulièrement important de connaitre ses limites et de tout faire pour les respecter car alors on a plus de chance de faire des choix judicieux, ce qui est favorable AUSSI aux accueillis.