Contrôle de urssaf aidez moi svp

je trouve fort de café de taper du des assmat qui n'ont pas le choix sur l'amplitude horaire, celle qui ont voulu travailler plus oui pour gagner plus avec accord de l'état et de la PMI pendant le covid . qui sommes nous pour juger.
qui na pas fait des horaires de dingue dans sa jeunesse , oui parce qu'on etait jeune beau et pas riche ,ou parce que le boulot c'est le boulot.
lever le pied j'ai pu le faire , a vrai dire 8 h 18 h c'est parfait pour l'intant car mes contrats sont ainsi .mais les prochains ,pas sur de pouvoir ,il faudra peut etre faire 7 h30 .18.30 et j'aurai pas le choix ou de vivre avec des AR. on dépend de trops de parametres .
et c'est pas a lyon que la vie d'une assmat est plus facile , atrretez avec ca .quand il y a pas d'appel il y a pas d'appel.
certes il y a pas mal d'abus parce qu'on a toujours laissé faire . maintenant c'est le retour de baton .d'ailleurs pourquoi lors de l'agrement les HA sont maintenant 8 h ,18 h.
c'est le début du grand ménage oui mais qui va en subir les conséquances
 
C'est bien gentil et bien beau de critiquer les ass mat qui travaillent énormément, pour 3 EUR de l'heure net, car en campagne c'est ce qui se passe. Ne vous en déplaise, tout le monde n'habite pas paris, Lyon, Marseille..... Ou leur banlieue. Je trouve que taper sur ces personnes qui se démènent pour gagner un salaire acceptable qui permette de vivre n'est ni gentil ni bienveillant. La bienveillance est normalement de mise dans notre métier, et n'est pas à géométrie variable. et je lis parfois des posts qui ne le sont pas vraiment. Bon courage à toutes ces ass mat qui n'ont pas le choix, essayer de redresser la barre, prenez soin de vous

Bonjour,

Avec tout le respect que je vous dois, il ne s'agit pas d'être bienveillant ou pas, mais de respecter la LOI.

Que l'on habite en France, à Paris ou dans le fin fond de la Meuse, que l'on habite en Allemagne ou dans n'importe quel autre pays de l'Union Européenne, Nous avons tous les mêmes règles à respecter.

Dans la plupart des PMI, lors des réunions de présentation, on nous explique que ce travail ne peut être qu'un salaire d'appoint et pas un salaire pour vivre, parce que les responsables PMI sont conscients qu'avec les tx horaires qui se pratiquent sauf dans les grandes villes ou la demande est plus importante que le nombre de place disponible de garde d'enfants, dans les autres cas monter les tx horaires c'est compliqué.

La professionnalisation a outrance de ce métier tout d'un coup en quelques années a attiré dans la profession des femmes et des hommes qui veulent en vivre mais les conditions actuels de remboursement de la CMG ne le permet pas toujours, selon ce que gagne les parents.

Plus une ass mat fait d'heure sur un contrat et plus elle doit baisser son tx horaire et travailler pour pas grand chose, il faut le savoir et l'intégrer aussi

Multiplier les contrats et les heures à gogo pour soit disant vivre mais au détriment du physique et du psychique de l'ass mat ce n'est pas possible. Et aussi au risque d'avoir des accidents du travail à cause de la fatigue.

Pour l'instant, l'Etat se refuse à augmenter nos tx horaires parce qu'il serait contraint d'augmenter en proportion la CMG, en ont ils les moyens ? est ce une volonté de créer des crèches en quantité importantes, sans doute mais au vu des révélations récentes, des conditions de travail et des salaires des professionnelles qui y travaillent, ils n'arrivent pas recruter, création de MAM à gogo, effectivement c'est possible mais pour l'instant ce mode de fonctionnement disfonctionne fréquemment car travailler à 2,3 ou 4 ass mats qui ont des pratiques au départ différentes ou pas, c'est compliqué
Que font les syndicats, le syndicat des parents employeurs et les associations d'ass mat pour que l'on ait enfin des tx horaires qui permettent de vivre, pas grands choses, parce que l'Etat ne veut rien savoir
Alors la bienveillance concernant toutes ces ass mats qui n'ont pas réfléchi, pas cru celles comme nous qui avions prévenu, et bien qu'elles assument, à un moment donné, lorsque l'on explique des règles mathématiques simples et que parce que ca arrange financièrement on reste dans le flou du gouvernement, quand on se fait rattraper par la patrouille, on vient pas pleurer, on assume
 
Bonjour Tiphain,
je vais remettre un peu les choses à plat, bien que ce que vous dites et vrai sur le papier mais c'est autre chose sur le terrain. Je prends l'exemple du COVID période durant laquelle les assistantes maternelles ont vu leur agrément se faire exceptionnellement "élasticiser", vous dites :"A cause de la pandémie, nous pouvions accueillir plus d'enfants, OK, la PMI et l'état avaient donné leurs accords, quoique cela dépendait des départements, mais en aucun cas, ces organismes ne nous ont autorisé à dépasser les limites de la loi Européenne qui indique que LES SALARIES du privé ont l'obligation légale de respecter les 2250h/an et les 48h/semaine en moyenne sur 4 mois voir sur 12 mois avec l'accord du salarié." Ok mais expliquez moi comment est-il possible de respecter ce quota horaire quand votre PMI vous envoi des enfants de soignants qui sont sur le pont du matin jusqu'au soir et parfois la nuit ( pandémie oblige et donc PMI au courant des horaires de ce personnel soignant) ? Ma PMI m'a appelé, j'ai accepté d'être sur la liste des assistantes maternelles prêtent à soutenir ces soignants, je n'ai pas eu de surplus d'accueillis pour autant (tant mieux finalement) mais j'étais volontaire. Ceci dit certaines en ont eu, pour aider et c'était tout à leur honneur, nous étions quand même en état d'urgence je vous le rappelle. Par contre, petite info (pour contredire votre théorie 😅 ), en aucun cas la PMI m'a dit "attention vous êtes prête à accueillir des enfants de soignants mais faites à attention aux 2250 heures qu'il ne faut pas dépasser", là franchement je ris derrière mon ordi. Je suis d'accord en tout point avec vous, mais reconnaissez quand même que pour beaucoup notre métier est souvent synonyme "d'open bar" concernant les horaires, car aujourd'hui, PMI, PE, Asso... diverses, Formateurs...etc.. n'ont toujours pas assimilé (ou pas lu) que depuis 2004 nous avons une CCN qui reprend certaines lois du code du travail (un peu écartelées soit). Donc aujourd'hui je pense que nous payons un peu le manque de "non règles" qui existait avant notre CCN et croyait moi j'ai vécu cette période d'avant avec tout ce que cela comporte. Mais pour certains les habitudes ont la vie dure, pour ceux là ( j'intégre certaines assistantes maternelles) on est toujours des personnes (non pas des salariés) étiquetées "corvéables à souhait" et ça c'est un constat de terrain.
 
Bonjour

"Plus une ass mat fait d'heure sur un contrat et plus elle doit baisser son tx horaire et travailler pour pas grand chose, il faut le savoir et l'intégrer aussi"

Pour devoir baisser son taux horaire, çà veut dire être au max du taux CAF, c'est à dire 57,60 € brut journalier donc pour 10 h journalier, un salaire max de 5, 76 € brut / heure.
Beaucoup d'AM ne doivent pas atteindre ce brut donc ce n'est pas gênant pour elles.
Pour moi le problème ce serait plutôt le minimum horaire légal qui pour moi est une honte.
 
"Par contre, petite info (pour contredire votre théorie 😅 ), en aucun cas la PMI m'a dit "attention vous êtes prête à accueillir des enfants de soignants mais faites à attention aux 2250 heures qu'il ne faut pas dépasser", là franchement je ris derrière mon ordi."

Parce que ce n'est tout simplement pas leur rôle...
Toutes les lois ne sont pas régies par les mêmes instances.
PMI : bien-être et sécurité des accueillis + respect agrément
URSSAF : lois sur le travail
 
"Par contre, petite info (pour contredire votre théorie 😅 ), en aucun cas la PMI m'a dit "attention vous êtes prête à accueillir des enfants de soignants mais faites à attention aux 2250 heures qu'il ne faut pas dépasser", là franchement je ris derrière mon ordi."

Parce que ce n'est tout simplement pas leur rôle...
Toutes les lois ne sont pas régies par les mêmes instances.
PMI : bien-être et sécurité des accueillis + respect agrément
URSSAF : lois sur le travail
Je suis à 100% d'accord avec vous
 
Bien sûr que ce n'est pas leur rôle Zabou68, mais je reprends les propos de Thiphain qui met en avant une réflexion sur la période COVID "OK, la PMI et l'état avaient donné leurs accords ..." propos qui laissent entendre que la pmi et l'état avaient donné des accords avec soi disant en sous entendu "dans le respect des limites de notre CCN" ( la bonne blague), un peu utopique non ? Car au moment ils s'en foutaient tous un peu de nos limites, de notre soi disant bien être, de celui des enfants et surtout de la législation des 2250 heures annuelles à ne pas dépasser. Et aujourd'hui on tire à boulets rouges sur celles qui ont fait l'effort d'accueillir en surplus des enfants de soignants qui je vous le rappelle n'avaient plus de crèches ni d'écoles car celles-ci étaient fermées. Donc désolée il me paraît normal de rétablir un peu le contexte du moment.
 
Et puisque vous mettez en avant la loi que je connais aussi, allons jusqu'au bout de la démarche. Je vous le rappelle que ce n'est pas en nous de vérifiez que le quota des heures max annuelles ne soient pas dépassé, mais à nos employeurs de faire la démarche de cette vérification. Car là c'est bien le code du travail, pas notre CCN elle n'en parle même pas, donc on se référe au code du travail, qui dit dans le cas de multi-employeurs : "l'employeur doit être en mesure de s'assurer que les durées maximales de travail soient respectées. Et le salarié doit permettre à son employeur de vérifier que la durée hebdomadaire maximale de travail n'est pas habituellement dépassée (Cass.soc.,20/06/18,n°16-21.811)" Et il est bien précisé que dans le cas du non respect de cette loi, que le salarié et l'employeur risquent une amende. De plus si le salarié ne fourni pas cette attestation et bien c'est un licenciement pour faute grave. Petite question : Vos employeurs vous ont-ils déjà demandé cette attestation prouvant que vous ne dépassez pas vos 2250 heures annuelles ?...Je ne pense pas. Donc selon la loi l'URSSAF devrait aussi se tourner vers les employeurs, ce qu'ils n'ont pas fait visiblement.
 
Bien sûr que ce n'est pas leur rôle Zabou68, mais je reprends les propos de Thiphain qui met en avant une réflexion sur la période COVID "OK, la PMI et l'état avaient donné leurs accords ..." propos qui laissent entendre que la pmi et l'état avaient donné des accords avec soi disant en sous entendu "dans le respect des limites de notre CCN" ( la bonne blague), un peu utopique non ? Car au moment ils s'en foutaient tous un peu de nos limites, de notre soi disant bien être, de celui des enfants et surtout de la législation des 2250 heures annuelles à ne pas dépasser. Et aujourd'hui on tire à boulets rouges sur celles qui ont fait l'effort d'accueillir en surplus des enfants de soignants qui je vous le rappelle n'avaient plus de crèches ni d'écoles car celles-ci étaient fermées. Donc désolée il me paraît normal de rétablir un peu le contexte du moment.
Utopique non, nous sommes des adultes qui devont aussi penser par nous même.
Il y avait la pandémie, ok, il y avait des soucis de garde pour les soignants entre autres, ok, mais les PMI et l'Etat ne nous a pas mis un couteau sous la gorge pour nous obliger à travailler en dehors des clous.
Bon nombre d'ass mat, non pas voulu rentrer dans ce jeu, parce que certaines avaient peur de cette décision (débile), elles n'ont simplement pas travailler pour se protéger aussi, parce que certaines avaient compris qu'en ayant déjà 4 enfants à leurs domiciles et seulement 2 bras et un agrément avec 4 places ou 3 places, elles étaient conscientes que ce n'étaient pas possible de prendre un ou deux enfants de plus en faisant correctement son travail, certaines ont réfléchi au fait que leurs responsabilités étaient aussi engagées en cas de problème, d'accident ou autres et elles se sont rappelées pour certaines qu'elles ne pouvaient pas travailler plus que la loi ne les autorisaient à le faire.
Alors bravo à celles qui ont pris des risques pour aider les parents mais on m'a appris lorsqu'il y a un problème, à observer, à réfléchir avant de se jeter dans la bataille et pour ma part, je n'ai pas voulu prendre le risque de me mettre en non conformité avec la loi, ni me mettre en danger, ni mettre en danger ma famille malgré les dires de ce président.
 
Honnêtement combien d'assmats savent qu'elles ne doivent pas dépasser 2250 h par an ? Ben pas beaucoup, je l'ai appris sur ce forum pour ma part. Pourtant j'ai fait une formation sur les droits et devoirs dans l'exercice de son métier, ils n'en ont pas parlé du tout. En formation obligatoire, est ce que cela est abordé ? Non plus .....donc bien facile de dire que l'on doit connaître cette loi car concrètement déjà de s'y retrouver sur quels articles du code du travail s'appliquent à notre profession n'est pas évident, même pour l'inspection du travail, ce n'est pas facile de savoir si tel article s'applique ou pas aux assmats ....alors arrêtons d'incriminer celles qui ne savaient pas en sous entendant qu'elles ont fait exprès de ne pas savoir, arrêtons de dire que c'était très clair depuis toujours alors que sur ce forum même @GénéralMétal1988 qui milite pour les 2250h par an depuis toujours avait annoncé le contraire y a pas si longtemps que cela suite à une annonce de je ne sais plus qui ....
Et je rajouterai que l'état français vient de se faire épinglé pour non respect de la loi européenne sur le cumul de congés payés pendant un arrêt maladie long. Cela fait désormais jurisprudence puisque la loi européenne dit qu'en étant en arrêt maladie long on cumule des congés payés, alors que la France ne l'appliquait pas.....donc ce que j'en dis c'est que nous devrions avoir accès à nos droits et nos devoirs sans que cela soit le parcours du combattant.....
 
Petite précision pour la période de confinement :
les enfants de soignants pouvaient être accueillis en crèche et à l'école, simplement il fallait en faire la demande, ce n'était ni la crèche ni l'école de secteur mais il y avait un regroupement et pour cela il fallait que le conjoint soit aussi personnel prioritaire.
C'était une solution bien plus sécure car il s'agissait de locaux dédiés, de personnel volontaire pour l'accueil et il y avait du personnel pour l'entretien des locaux.
À quel moment cela pouvait-il être mieux de confier ces enfants à une AM en plus des enfants qu'elle avait déjà potentiellement en accueil sachant qu'à ce moment là sa famille était présente puisque confinée et qu'elle aurait à gérer en plus de ces accueils supplémentaires un protocole de ménage +++ ?
Aucun PE ne m'a confié son enfant pendant cette période mettant un point d'honneur à me protéger et à protéger ma famille, ils ont tous maintenu mon salaire en totalité et je leur en suis reconnaissante.
 
Alors re petite précision @noounouc , à quel moment à tu vu ou su que la dérogation pour 6 accueillis n'était que pendant la période de confinement ? Car cette dérogation mise en place par le gouvernement a perduré longtemps après la levée du confinement.....
Et il y a des cas que tu ne soupçonnes absolument pas, évitons de faire des généralités. Mon mari personne à risque a quitté notre maison avec mes enfants à la lever du confinement pour que je puisse reprendre le travail sous la pression des parents à l'époque qui devaient , eux, reprendre leurs postes. Par conséquent, ayant à l époque plusieurs parents employeurs soignants, j'ai repris avec mes contrats et aussi ceux de mon mari, dérogation demandée à la pmi qui me l'a accordé puisqu'ils n'avaient pas trop le choix que de le faire. Donc, attention, je n'avais à l'époque pas trop le choix , j'aurai préféré reprendre avec mon mari mais si chacun, chacune se souvient bien, on n'avait pas de masques quand la levée du confinement a eu lieu, pas de gel hydroalcoolique, un protocole long comme le bras et aucun soutien de la part de la PMI ....donc bon..... certains certaines ont surtout fait comme elles ont pu ....
 
Ma remarque n'était pas pour les AM, mais pour ceux qui ont eu la "bonne" idée de les appeler à la rescousse tout en restant bien au chaud chez eux en télétravail et en se moquant bien des risques que ça leur faisait prendre... .
À un moment donné les enseignants ont fait partie du personnel prioritaire, les crèches ne se sont pas gênées pour refuser les enfants si le second parent n'était pas prioritaire, peut importait qu'il soit en télétravail. J'ai accueilli alors les enfants mais uniquement "les miens".
 
Les banquiers, les commerçants, la liste des personnels prioritaires ne s'arrêtaient pas aux soignants.....la liste était bien longue ....
 
Alors re petite précision @noounouc , à quel moment à tu vu ou su que la dérogation pour 6 accueillis n'était que pendant la période de confinement ? Car cette dérogation mise en place par le gouvernement a perduré longtemps après la levée du confinement.....
Et il y a des cas que tu ne soupçonnes absolument pas, évitons de faire des généralités. Mon mari personne à risque a quitté notre maison avec mes enfants à la lever du confinement pour que je puisse reprendre le travail sous la pression des parents à l'époque qui devaient , eux, reprendre leurs postes. Par conséquent, ayant à l époque plusieurs parents employeurs soignants, j'ai repris avec mes contrats et aussi ceux de mon mari, dérogation demandée à la pmi qui me l'a accordé puisqu'ils n'avaient pas trop le choix que de le faire. Donc, attention, je n'avais à l'époque pas trop le choix , j'aurai préféré reprendre avec mon mari mais si chacun, chacune se souvient bien, on n'avait pas de masques quand la levée du confinement a eu lieu, pas de gel hydroalcoolique, un protocole long comme le bras et aucun soutien de la part de la PMI ....donc bon..... certains certaines ont surtout fait comme elles ont pu ....
C'était votre choix que de reprendre sous la pression des parents, personnellement, je ne l'aurai pas fait en sachant que j'avais un conjoint à risque et mes propres enfants à gérer, la priorité étant toujours ma famille.
Les parents se seraient débrouillées sans moi et mon médecin traitant en était d'accord avec moi, il était même prêt à me mettre en arrêt si mes parents employeurs avaient voulu me mettre leurs enfants pendant cette période et j'ai été payé, car après de longues discussions, ils ont compris que je ne pouvais pas prendre ce risque.
Certains de mes employeurs de l'époque n'ont pas travaillé, d'autres ont mis leurs enfants en crèche puisque personnel prioritaire mais ont compris que je prendrais pas le risque de travailler.
 
Les banquiers, les commerçants, la liste des personnels prioritaires ne s'arrêtaient pas aux soignants.....la liste était bien longue ....
Mais nous n'avions pas le couteau sous la gorge et j'ai personnellement joint ma PMI à l'époque pour leur rappeler que je ne travaillerais pas pendant cette période pour protéger les miens tout simplement et ma puer était OK avec moi. Malgré la pression, n'ayant pas de sanction de la part de l'état, j'ai fait ce choix de protéger ma famille. L'état avait laisser certaines crèches ouvertes pour les personnels prioritaires ainsi que les écoles, les parents avaient des solutions.
Mais même le Président de la République ne m'aurait pas obligé à travailler dans ces conditions, y a des limites à ne pas franchir
 
J'ai tout autant protégé ma famille que toi puisque mon mari et mes enfants sont partis vivre chez mes beaux parents. Au lever du confinement, on avait pas vraiment le choix que de reprendre le travail.....pour rappel nous n'avions pas de droit de retrait....y en a qui ont la mémoire courte quand même
 
J'ai tout autant protégé ma famille que toi puisque mon mari et mes enfants sont partis vivre chez mes beaux parents. Au lever du confinement, on avait pas vraiment le choix que de reprendre le travail.....pour rappel nous n'avions pas de droit de retrait....y en a qui ont la mémoire courte quand même
Je n'ai pas la mémoire courte, j'ai discuté avec les parents employeurs de l'époque et je ne leur ais pas laissé le choix sachant que mon médecin me suivait sur ce coup là, soit les parents trouvaient des solutions de leurs côtés, soit je me mettais en arrêt. Un de mes enfants asthmatique, un conjoint en surpoids ainsi que moi même, j'ai été cash avec eux et après discussion, ils ont compris que je ne reviendrais pas dessus. Impossible de trouver un plan B pour nous, pas de famille à proximité donc pas le choix.
Je ne me suis pas senti obliger de reprendre le boulot, la santé avant tout
 
On a pas un médecin si compréhensif, avant qu'il nous mette en arrêt, il faut avoir un pied dans le cimetière. On a pas tous la même chance.....
 
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