Ras le bol !

Griselda, dans tout ton récit fascinant et instructif, voici la partie qui résume parfaitement « Pygmalion à l’école », c’est à dire L’attente du maître et le développement intellectuel de l’élève.
Je te cite:

« Tout ça pour dire qu'on ignore pourquoi un enfant des fois bloque à l'école, que ça ne veut pas dire qu'il est stupide (je ne pense pas l'être!) mais que si l'enseignant lui porte un regard négatif ça risque de ne pas aider. »

Donc, tu as tout compris. J’ai vécu cela pendant toute ma scolarité et quand J’ai compris la stupidité de certains enseignants plus tard, J’ai décidé toute seule de faire le contraire pour leur montrer que je ne suis pas aussi bête qu’ils le pensent.
Aujourd’hui, quand j’entreprends quelque chose et que l’on me dit: « tu ne vas y arriver », je fais tout mon possible pour réussir…Je me suis auto éduquée à la motivation on va dire.
C'est pour cette raison que J’ai décidé de faire des études en Sciences de l’éducation et écrire ma thèse de doctorat sur ce que le savoir représente pour un élève en échec scolaire. Qu’on arrête de dire que l’élève qui échoue à l’école est stupide. L’échec est parfois créé par le comportement du maître tout comme il peut créer la réussite ( effet Pygmalion.

J’ai décidé toute seule de retourner sur les bancs de l’école à 50 ans (on m’a dit que je n’y arriverai pas), j’ai décroché mon diplôme d’éducatrice de jeunes enfants. Comme le système scolaire ne fait rien pour éviter la manipulation intellectuelle de certains enfants par certains enseignants, je peux apporter ma pierre à l’édifice en accueillant certains dès leur naissance. Peut-être que la sécurité, le bien-être que j’aurais essayé de leur apporter par la valorisation, la bienveillance forgeraient leur estime de soi pour que nul ne brise leur destin!!!
Oui vous me direz que ce n’est qu’un morceau de sucre dans la mer, mais peu importe, vous et moi et quelques parents je l’espère sommes l’avenir de tous ces enfants qui se recherchent à l’école.
Nous faisons croyez-moi le plus beau métier au monde.
Prenez personnellement bien soin de vos enfants et restez présents.
 

C'est comme partout et pour tout.
Lorsque l'on n' aime pas ce que l'on fait, et bien on le fait mal. C'est le cas pour cette personne, elle a choisi ce métier peut être pour d'autres raisons que l' enseignement, la pédagogie ou elle n'est simplement pas adaptée pour cette tranche d'âge,
Je ne comprends pas le fonctionnement de l'éducation nationale dans ce pays.
Dans mon pays d'origine, c'est à l'école que l'on apprend à lire, à écrire et pour certain à apprendre la langue française.
Et heureusement parce que certains enfants ont des parents complètement illettrés, et qui pourtant sont devenus médecins, profs, ministres etc... Ces enfants ont tout appris à l'école avec des profs passionnés.
Moi aussi j'ai dû batailler avec le maître d'école de ma fille à la petite section de maternelle. De temps en temps nous le rencontrons dans le quartier et je vois l'étonnement sur son visage lorsque ma fille lui parle de ses études.
Ne vous inquiétez de rien, ne mettez pas la pression sur votre enfant.
Par contre moi j'ai été rencontré la psychologue scolaire avec ma fille qui nous a dit qu'elle ne voyait aucun soucis chez notre fille à partir de là mon mari et moi avions arrêté d'écouter ce maître d'école et ses jérémiades.
 
@bidulle, je suis bien sûre d'accord, mais dans le public les profs ne choisissent pas leur lieu, leur classe et y vont parfois à reculons, il y a aussi beaucoup de manque de personnel (un sur 10 à la rentrée, ma nièce par exemple ça fait deux ans qu'elle n'a pas eu de prof de physique-chimie). Ce qui n'est pas le cas dans le privé où ils postulent et s'investissent plus dans le projet pédago qu'ils nous expliquent d'ailleurs avant toute inscription. Après privée ou publique il y a des écoles (et profs) nulles partout, mais chez nous c'est plutôt le public qui se casse la gueule et dans les villages, il n'y a qu'un seul type de mouvement : du public vers le privé. Il y a aussi ce truc qu'on ne choisit pas son école/collègue publique, les enfants sont affectés par secteur, donc il suffit qu'on soit dans un mauvais secteur et c'est fichu... alors qu'on peut choisir son école dans le privé, la démarche est super différente. Je précise que j'ai fait toute ma scolarité dans le public, la maternelle primaire ça allait mais le collège c'était la grosse cata, les élèves sont confrontés quotidiennement à une extrême violence, il est clair que pour moi si mon enfant se sent mal dans une école il aura toujours le choix de poursuivre son instruction à la maison s'il préfère.
 
Personnellement, je ne pense pas que ce soit une histoire de public ou de privé mais bel et bien de personnel impliqué ou pas, bienveillant ou pas!
J'ai rencontré dans le public, des enseignants formidables et d'autres moins.La même chose est vraie dans le privé ...
Mais ce problème n'est pas lié qu'à l'éducation
nationale, tu le retrouve partout!
 
Alors je vais vous faire deux petits constats sur l'école d'aujourd'hui, j'ai un peu essuyé les plâtres puisque deux grandes filles aujourd'hui. Je pense que les enseignants de primaire attendent que l'enfant sachent tout avant de rentrer dans leur classe (chose impossible bien sûr). Donc un enfant qui ne sait pas compter ou le nom des animaux (comme dans le cas de Perssiflore) "ce n'est pas normal, il devrait déjà savoir tout ça", oui mais alors pourquoi les mettons nous à l'école me direz vous, puisqu'ils sont sensés tout savoir avant même que d'y mettre les pieds ? Là est la grande question et j'ai ma petite analyse, qui est que les enseignants d'aujourd'hui ne veulent plus enseigner, donc ils refilent le bébé (si je peux m'exprimer ainsi) aux orthophonistes et autres, ce qui explique le surbookage de ces derniers. Malheureusement cette situation dure depuis le début des années 90. Lorsque j'étais à l'école les enseignants laissez de côté ceux qui comprenaient et s'occupaient de ceux qui avaient des difficultés et les parents étaient rarement impliqués, en gros ils faisaient le job et personne n'allait chez les orthophoniste sauf si c'était amplement justifié. Aujourd'hui les enseignants ont choisi la solution de facilité, ils s'occupent des élèves qui ont des aptitudes et laissent de côté ceux qui ont des difficultés, en les envoyant chez les orthophonistes et en culpabilisant les parents au passage. Alors j'arrête tout de suite celles et ceux qui vont me sortir "la phrase bateau" pour justifier cela "oui mais, les classes sont surchargées aujourd'hui et les pauvres enseignants sont débordés !" Et bien j'ai sortie ma photo de classe de cm1( année 70 avec un enseignant merveilleux) nous étions 30 élèves, désolée mais cette raison ne tient pas la route. Donc il n'y a pas 36 solutions, si vous ne voulez pas que votre enfant passe pour "l'abruti de service" aux yeux de "ces choses" que nous appelons enseignants et qu'il se maintienne dans un niveau correct, il va falloir accepter de faire "une deuxième journée" le soir ( ce que j'ai fait pour mes 2 filles) et expliquer à votre enfant les enseignements qu'il n'a pas compris durant la journée. Deuxième constat, en raison de cette situation de démission enseignante, je plains les enfants dont les parents ne peuvent pas suivre ce conseil de "deuxième journée", car pas le temps ou pas le niveau d'études, car ceux là ont toutes les chances de se retrouver en échec scolaire et le chiffre de ces élèves en échec est loin d'être en baisse. Malheureusement, si rien ne change, j'en conclu que l'école ne permettra plus pour certains de monter l'échelle sociale, comme ce fut le cas dans les années précédents 90. Volonté politique ou fainéantise d'un métier ?
 
Pour mon avis les enseignants ont autant de difficultés à enseigner aux enfants qui ont des difficultés qu'à ceux qui ont trop de facilités.
Ils sont formés pour ce qui est considéré comme "la norme".
Une formation trop incomplète, des classes souvent trop chargées, des savoirs qui s'éparpillent : les enseignants sont trop souvent à la peine. C'est tout un système qui dysfonctionne.
 
D'accord avec toi Canino, il faut suivre ses enfants, faire la " deuxième journée ", en bref combler les lacunes de l'éducation nationale !
 
Oui catie6432 peut être, quoique j'ai un réel doute quant aux raisons que vous évoquez, car les problème que vous citez existaient déjà à mon époque et pourtant nos enseignants priorisaient la place de l'enfant et l'enseignement qu'ils leur délivraient. Mais pour autant ces enseignants que vous considérez en difficultés, sont-ils obligés de faire retomber la responsabilité de leur situation sur les enfants et leurs parents ? Je ne pense pas. En effet, en quoi sont-ils responsables d'une situation mise en place année après année par des syndicats d'enseignants, qui fait fi de toute pédagogie et enseignement adapté à l'enfant, seul compte leur bien-être. Et comme dit kikine le rythme biologique rentre aussi en ligne de compte, mais là c'est surtout un problème que l'école est vue par beaucoup comme une garderie et non comme un lieu d'enseignement, on a eu un petit aperçu durant le Covid. Et qui trinque de toutes ces volonté d'adultes centrés sur eux même, ben les enfants. Mais pas de soucis tout ça on le payera un jour, d'ailleurs on commence déjà à le payer.
 
Bonjour,

Le gros souci actuellement, c'est le niveau des enseignants.
J'ai lu un article sur le recrutement des professeurs des écoles Ils avaient pour la plupart d'entre eux un niveau d'orthographe très bas et en mathématiques aussi. Comment voulez-vous qu'ils puissent relever le niveau des écoliers si eux-mêmes ont des difficultés.
Je ne sais pas vous, mais moi je me rappelle d'un certain livre "Le Bl.d" pour ne pas le citer.
Tous les soirs des exercices à faire, à la fin on connaissait les règles de grammaire par cœur.
Les tables d'addition, de soustraction et de multiplication, on les rabâcheait tous les jours et à la fin ça rentrait dans nos petits cerveaux. Mais ce temps là est fini.

C'est aussi à nous parents, de les accompagner vers ces apprentissages.
Quand mes enfants étaient petits, je revoyais avec eux le programme de la semaine d'école.
Malgré que ma fille aînée soit hyperactive, les maîtresses ont toujours été bienveillantes avec elle. Nous avons même été avec la directrice et son enseignante de CE2 voir la neuropediatre qui l'a suivait pour mettre un protocole pour l'accompagner au mieux dans sa scolarité.
Et cela a été bénéfique pour ma fille et pour sa maîtresse. Celle-ci avait pris conscience qu'elle avait eu des enfants avec ce même problème mais pas diagnostiqué.
 
B29, c'est certain qu'il faut les suivre dans leur scolarité.
Malheureusement certains parents n'ont ni les connaissances, ni les outils, sans même parler de l'envie ou du temps pour le faire.
J'ai accueilli par exemple un enfant dont la grande sœur en CE2 était en grande difficultés scolaires mais ses parents étaient dépassés pour l'aider dans ses devoirs. La maman l'avouait elle même et en était très malheureuse. "Je ne peux pas l'aider. Je ne comprends pas ce qu'on lui demande".
Alors, pour ces enfants, c'est la double peine.
Et il ne s'agissait pas de parents démissionnaires. Ils étaient très attentifs à leurs enfants et dans la bienveillance. Et d'excellents employeurs par ailleurs.
 
Les problèmes de l'éducation nationale sont depuis longtemps identifiés : manque de moyens ( on rappelle qu'à une époque le budget alloué aux armées était plus important qu'à l'éducation nationale), pénurie d'enseignants, formation : enseignants qui ne sont pas formés et prêts à travailler avec tous les styles d'apprentissage!
des parents qui ne s'impliquent plus ( un pb que nous connaissons bien dans notre profession), des programmes mal ficelés, la violence, des changements de tendance éducatives au grès des changements de ministre.
La liste peut s'allonger encore et encore...
Cela fait des décennies que tous les voyants sont au rouge ! Que tous les ans, à la rentrée scolaire on entend les mêmes critiques, on fait les mêmes constats.
Qu'est ce qui change ?
Rien! Le constat est toujours le même : le niveau des écoles n' est pas bon voire mauvais et c'est de pire en pire chaque année.!
Une école quu ne remplit plus son rôle de lisser les inégalités. Et enfin une éducation nationale qui commence tout juste à comprendre que tous les enfants n'apprennent pas de la même manière et à en tenir compte!
Un constat accablant !

Je suis pour ma part sortie d'affaire puisque ma fille est en fac, pour autant je peux vous assurer que mon implication à été totale dans cette gestion de l'école, que j'ai pesté à maintes reprises à la fois sur les méthodes et les programmes, contre des enseignants, etc...je n'ai jamais rien lâché et ne me suis jamais laissé intimidée par un enseignant en restant correcte et respectueuse bien sur...
Perssiflore , fait front à cette enseignante, prouve lui qu'elle a tord.
Comme te l'a conseillé une de nos collègues, tu peux t'investir en étant déléguée et participer au conseil de classe , ou aussi association de parents d'élèves etc.
C'est très instructif, par contre c'est parfois difficile, tu entends des discours juste surréalistes.Il faut pouvoir supporter !
Moi je ne l'ai supporté qu'une année et c'est bien parce que lorsque je commence
je vais jusqu'au bout...
 
Oui B29 le livre, voilà le support qui a complétement disparu des fournitures, le Bl.., le besch.., mon 1er livre de lecture la méthode Bro...toujours en vente, d'ailleurs mes deux filles ont appris à lire avec cette méthode sans aucune difficulté, sur ce coup là j'ai pris les choses en main car la méthode globale ou mixte (globale et syllabique) sur papier photocopier n'était pas du tout motivante ni probante. Et l'on voit bien le résultat de ces méthodes sans livre aujourd'hui, certains élèves rentrent en 6ème sans même savoir lire correctement. C'est beau un livre c'est motivant, petite je feuilletais mes livres d'école y compris ceux des mathématiques 😂 , j'adorai. Aujourd’hui c'est : distribution de polycopier, que les enfants perdent les 3/4 du temps tout froissé au fond de leur cartable ça c'est au mieux sinon c'est définitivement perdu. Je suis d'accord, remotivons les enfants avec des livres ce serait déjà un bon début.
 
Bonjour



Je suis désolée cette fin de semaine à été assez compliquer et intense, je prend enfin le temps de répondre ! 😓



Merci à toutes, je ne sais pas si je dois dire que je suis soulagée de ne pas être là seule à qui ça arrive ou bien prendre peur de savoir que l’école ben c’est malheureusement partout pareil et qu’on met au final une pression de dingue dès la 1ere année !



Ma fille la maternelle s’est toujours très mal passée, elle avait une petite bande de copains/copines avec qui elle aimait jouer en récréation mais sinon elle était très timide, n’osait pas. Lorsqu’elle avait un travail à faire, même juste un coloriage si elle se trompait elle se mettait à pleurer. En moyenne section, Plusieurs fois elle a été privée de récréation pour finir du travail, nous avons fini par demander « des comptes » la maîtresse niée on lui a donc dit que notre fille mentait …? Elle a fini par reconnaître qu’elle n’y allait pas mais avait quand même 5 minutes. Nous lui avons dit qu’elle était en maternelle, pas à l’université ! Cette année là elle a eu 3 maîtresses différentes, la 1ere est partie en congé maternité, la 2eme s’est cassée la figure dans les escaliers la 3eme a remplacé la 2eme avant qu’elle ne revienne puis que la 1ere revienne de son congé.

Nous avons eu un rdv avec la 2eme qui trouvait tout un tas de pb puis la puéricultrice aussi avec la visite médicale (ou les parents n’avaient pas le droit de venir !) à ce moment là j’étais enceinte et elle nous a carrément dit que notre fille était comme ça à cause de ma grossesse ! Quoi qu’il arrive la faute est toujours ailleurs qu’à l’école, toujours les parents ! Bref on a conclu sur le faite qu’elle n’allait pas passé son master à la fin de l’année ! Elle a vu le psy comme dit et répéter par l’école et la pmi, bizarrement notre fille allait très bien !



Nous avons fini par déménager et vraiment ça a été une libération pour notre fille ! Depuis la primaire elle n’a que des éloges, depuis le collège elle est dans les 3 premières de la classe.

Le problème c’est la directrice adjointe, depuis qu’elle est partie, il y a celle qui fait le catéchisme qui est devenu également directrice adjointe et je pense que le melon est arrivé en même temps ! Avant quand on voyait la directrice adjointe on pouvait parler, on était écouter, pas juger, pas de parti pris, pas de conseil de voir des psy ou autre ! Maintenant si… et puis je pense que cette école il y a quand même un gros soucis, même les professeurs des débuts s’en vont les uns après les autres et ceux qui restent no comment !



C’était une école privée où était ma fille, et là où sont nos enfants l’est également. Nous étions trop loin de l’école d’où nous dépendions et celle ci avait de bons échos.

Nous étions satisfait jusque coté l’année dernière.



Pour notre fils la maîtresse attend juste la retraite et c’est clair ! Elle tire une tronche de 6 pieds de long, quand elle parle ou sourit on sent que c’est juste faux, elle ne fait pas vraiment de câlin ni rien si un enfant pleure. À la rentrée on a vu des ballons de baudruche on l’a préviens que notre fils a peur, elle nous dit « oh … tout le monde aime dessiner sur les ballons ! » donc on lui répète que lui il en a peur. A 11h30, on lui demande comment s’est passé la journée et nous dit un ballon à éclater il a hurlé… 🙄

Les enfants qui se font pipi dessus mais qui retrouve leur parent à 11h30 pas changer 👌🏻

A chaque fois qu’un parent vient récupérer son enfant y’a toujours du négatif ! Quand les enfants frappe je dis pas, mais dire qu’il a fait que pleurer, il faut déjà les laisser partir seul parce qu’on a pas le droit le matin de rentrer (vigipirate) mais le soir par contre tout le monde peut rentrer chercher ses enfants ça pose pas de pb a vigipirate.

Mon fils n’y va pas avec le sourire à l’école, lorsque je suis seule, je fais en sorte de ne pas insister parce que je sais avec mon métier que c’est encore plus dur pour tout le monde. Mais le laisser en pleure me retourne le coeur !

Avec ce que m’a dit la maîtresse, je ne sais pas si il est comme ça le matin parce qu’il est mal, ni si ça passe vraiment etc. Donc jeudi et vendredi je suis restée avec lui 15 minutes avec lui à lui parler lui faire des bisous, des câlins, lui expliquer que je le laissais pas longtemps que j’allais revenir, de parler avec la maîtresse d’écouter ce qu’elle lui demande et de faire ce qu’il sait. Je l’ai ensuite laissé il n’a pas pleurer mais il n’y es pas aller en courant.



Je suis très mere louve et surprotectrice c’est vrai, nos enfants sont tout pour mon mari et moi même, on nous juge pour ça de ne pas les laisser pas même à la famille, mais quand je vois les enfants déjà garder en crèche, assistante maternelle mais qui pleure tout de même à l’école, c’est bien que c’est difficile pour tous et que garder ou non dès qu’il y a un changement certains ont plus de mal que d’autre c’est rarement facile .



Consulter des spécialistes n’est pas forcément mauvais, non, mais je sais que mon fils va bien et pour le moment je l’emmènerai nul part. Il n’a pas envie avec elle, il faudrait peut être qu’elle donne envie de parler, être plus douce dans ses paroles.

Si c’est à moi d’apprendre à mon fils alors autant le garder à la maison pour lui faire école ici ! Nous avions demandé à l’école que notre fils soit avec l’ancienne maîtresse de notre 3eme, notre mail est resté sans réponse et a été ignorer (il est de fin d’année donc il doit allé avec elle qui est institutrice de TPS/PS). C’est dommage, car c’est maintenant la seule qui tient la route et même un enfant timide qui ose pas finira par y arriver car cette maîtresse est vraiment super ! Tout dépend comment se passe la réunion, je pense qu’on reparlera de ce message sans réponse.
 
@Jeanine1 ma fille ne l’a pas eu, elle a fait sa maternelle ailleurs 🙂
Il n’y a pas non plus de conseil de parent, parent délégués c’est la nouveauté depuis quelques années c’est qu’au collège 🙄
Mais honnêtement, l’école s’en fiche, l’année dernière mon 3eme a eu un soucis dans la cour, il me semble en avoir parlé ici. Bref l’école a minimisé disant que c’était une bêtise de collégien, que les élèves concernés ne sont pas méchants (mon mari est parent délégué du collège, il a vu ses braves petits en conseils, ils n’ont eu que du négatif !). Fin d’année ma fille ne part pas au voyage scolaire et va donc avec ceux de l’autre classe de 4eme, ma fille travail très bien et tous le savent. Un élève assis à coter d’elle lui jeter ses affaires au sol, disait d’arrêter de parler (c’était faux bien sûr), puis lui a dit d’arrêter de faire sa studieuse ! 1ere matinée seulement, ell nous dit ça on a envoyé un mail à l’école en disant qu’elle ne remettrait pas les pieds à l’école avant le retour de sa classe, en expliquant pourquoi. Le directeur nous a appelé et a reçu mon mari pour en parler et que c’était hors de question que ce soit elle qui reste à la maison alors que c’est elle qui est victime ! L’élève a été mis en étude et la semaine s’est bien passée ensuite.
Mais pareil cette année l’école à la réunion parle du harcèlement scolaire, explique que c’est bien de virer le harceleur mais qu’eux sont bienveillants et ce qu’ils veulent eux c’est commprendre aider le harceleur… pas le virer en se disant voilà problème régler ! Donc en gros les harceleurs ont de beaux jours chez eux
 
@caninou je ne suis pas contre, je le faisais déjà avec mes aînés, mais si quand je lui demande si tout va bien qu’elle me dise les choses et pas tout va bien jusqu’au jour où elle demande un rdv en me disant j’y arrive pas avec lui, il comprend pas, il est perdu ! En faite, y’a je pense la façon de s’exprimer, ça parle de bienveillance à longueur de journée dans cette école mais balancer ça comme ça en mode soûlée et en plus devant d’autres parents.
J’avais qu’une envie lui dire de penser à changer de job mais sans mettre les formes !
 
Lorsqu’il y a eu le Covid, j’ai fais l’école à la maison comme toutes ici je pense, en mai ils pouvaient y retourner mais j’ai préféré les garder et continuer l’année ainsi, les professeurs de mes 2 enfants étaient super (c’était encore un « ancien » pour ma fille et mon fils son maître est encore ici et mon 3eme là actuellement nous sommes ravis).

Ma fille avait beaucoup de mal en maths, grâce au conseil de son professeur et le fait d’être là pour elle seule tout à été compris. J’angoissais Pour le collège, son maître m’a rassuré et il avait raison, ma fille s’en sort parfaitement bien, dans mon cas le Covid a été bénéfique concernant l’école à la maison 😅

Il me semble avoir lu, peut être ici, honnêtement je me souviens plus, que l’école à la maison c’était très compliquer d’en obtenir le droit 🤔
 
Oui Pessiflore l'école à la maison c'est devenu compliqué, ma fille l'a fait l'année dernière pour mon petit fils, elle ne voulait pas le mettre en première année de maternelle (manque de confiance en l’école). Cette décision de sa part, c'est le résultat du vécu qu'elle a eu avec l'école primaire étant petite, forcément, on ne peut pas lui reprocher. Donc pour l'école à la maison elle a du monter un dossier avec projet d'enseignement et pour donner plus de chance d'acceptation elle a inscrit sont fils au CNED (en libre) et à l' éveil musical tous les mercredi (donc activité extérieure). Le dossier a été finalement accepté, visiblement ça les arrangeait car manque de place pour l'année scolaire concernée. Mais je ne vous cache pas que c'est long et un peu barbant. Après vous pouvez toujours tenter.
Cette année mon petit fils a fait son entrée en ms, pour l'instant tout roule, mais connaissant ma fille comme je la connais, je sais qu'au moindre problème injustifié elle rue dans les brancards (pire que moi😂 ) en plus elle est psy, donc les arguments elle les a, face à des théories qui ne tiennent pas la route.
 
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