Elle n'a pas besoin de reflechir, elle a besoin d'avoir un plan B avant de perdre son plan A: toi.
C'est pourquoi pour moi j'ai 2 solutions:
1) je prends mon mal en patience, je ne démissionne pas, je dis non à tout, je suis aimable comme une porte de prison, je lui fais un courrier RAR de mise en demeure de résoudre tous ses manquements (date du BS et comportement à mon égard) qui me servira de preuve auprès du tribunal si elle ne me licencie pas avant pour obtenir la rupture aux torts de l'employeur.
Chaque jour et autant de fois que nécessaire ma seule réponse à tout ses reproches seraient systématiquement la présentation de sa lettre de licenciement qu'elle n'aurait plus qu'à signer.
Le temps de la procédure lui en laisse pour me trouver une remplaçante et décider enfin de me licencier, avant que le tribunal ne l'oblige à me lâcher la grappe.
En aucun cas je n'aurais peur d'elle car je serais plus inflexible qu'elle chaque jour.
En attendant bien sur je me mets en quête d'un autre contrat.
2) je décide que c'est insupportable tout de suite et je ne lui ouvre pas ma porte du tout, elle pourra toujours entamer une procedure de licenciement pour faute: abandon de poste, c'est à dire une démission et au moins j'ai la satisfaction de m'être débarrassée d'elle sans lui offrir plus de délais qu'elle a déjà eut depuis jeudi, c'est à dire depuis 7 jours déjà!
Perso je sais que je choisirai la guerre des nerfs, la 1 mais ça c'est chacun qui voit ce qu'il est pret à endurer.