Oui le PE "dit" qu'elle peut chercher quelqu'un d'autre mais n'écrit pas qu'il la libère donc rien ne prouve que si l'AM avait en effet trouvé un autre contrat le PE ne lui aurait pas réclamé, comme la loi le lui permettait, l'IR.
Voilà pourquoi si dès le mois de septembre ils avaient la certitude de ne pas pouvoir commencer ce contrat en novembre alors il eut été bon de faire cette rupture d'ER et verser l'IR.
Ils avaient le choix d'attendre le premier jour du contrat en novembre pour liberer légalement l'AM mais toujours en versant cette IR quand même.
L'AM leur demande de la tenir au courant ce qui est parfaitement normal puisqu'ils n'ont pas décidé dès le mois de septembre d'acter légalement la rupture de l'ER.
Il est bon d'arreter de tourner autour du pot: quand on signe un ER on s'y tient c'est aussi simple que ça, sinon on y va "à la confiance" mais on a alors aucune garantie ni d'une part ni de l'autre.
Et non la rupture d'un contrat au bout d'une heure, aujourd'hui, ne permet plus d'échapper à l'IR car alors le tribunal, quand il y a eut un ER avant sait voir que c'est une rupture abusive de la periode d'essai car personne ne peut affirmer qu'une collaboration ne pourrait pas être fructueuse en si peu de temps d'essai. Si tant est qu'il y a une periode d'essai car rappellons qu'elle n'est pas obligatoire, un contrat, par defaut, n'a pas de periode d'essai.