Catie6432
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- 6 Juillet 2022
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Petite mésaventure que je partage avec vous.
Vos avis me seront précieux.
Un enfant m'étant confié arrive un matin.
Nuit difficile, mais ce sont les dents dixit le parent.
L'enfant doit repartir un peu plus tôt ce jour là car rdv médical pour une vaccination.
Je prends note de l'information sur la nuit difficile et du rendez vous médical pour vaccination fixé en milieu d'après midi.
L'enfant n'a pas de température à son arrivée à 8h30.
L'accueil commence.
L'enfant pleure (hurlements) non stop pendant plus d'une heure.
Bras, musique, histoires ... Rien y fait.
Je reste démunie et j'estime que la place de cet enfant n'est pas en collectivité.
A son détriment (rythme, bruit etc ...) et au détriment de ses camarades pour lesquels je suis moins disponible c'est le moins que l'on puisse dire et qui subissent les pleurs virulents de leur petit camarade.
Je préviens donc le parent par message vocal qu'il me semble préférable, si cela lui est possible, qu'il vienne chercher son enfant qui semble vraiment en souffrance.
Le parent m'annonce qu'un tiers viendra chercher l'enfant dans une demi heure. Dont acte.
L'enfant part.
Le lendemain, retour de l'enfant.
Le parent me fait part de son mécontentement.
Mon message vocal lui a permis d'entendre les pleurs de son enfant ce qui l'a stressé.
De plus, le médecin ayant vu l'enfant l'après midi n'a rien diagnostiqué de particulier et table sur une poussée dentaire.
Je demande donc au parent de penser à me communiquer la page du carnet de santé sur laquelle figure la vaccination.
"Ha non ! Car le médecin a jugé préférable de ne pas vacciner l'enfant au vu de son état !"
J'explique au parent que je peux comprendre que mon appel ait pu lui déplaire mais que je l'ai passé en conscience et en responsabilité. Que je ne suis pas médecin pour établir un diagnostic.
Que le médecin a pu constater l'état altéré de l'enfant puisqu'il a jugé préférable de ne pas le vacciner ce jour là.
Je rappelle également que je n'ai pas refusé l'accueil de l'enfant la veille et que j'ai simplement alerté sur une situation qui m'a semblé inhabituelle et que j'ai conseillé de venir chercher l'enfant "si cela leur était possible".
J'envoie mon décompte du mois samedi.
Je ne déduis rien pour cette journée.
Le parent me demande de déduire.
Qu'en pensez vous ?
Vos avis me seront précieux.
Un enfant m'étant confié arrive un matin.
Nuit difficile, mais ce sont les dents dixit le parent.
L'enfant doit repartir un peu plus tôt ce jour là car rdv médical pour une vaccination.
Je prends note de l'information sur la nuit difficile et du rendez vous médical pour vaccination fixé en milieu d'après midi.
L'enfant n'a pas de température à son arrivée à 8h30.
L'accueil commence.
L'enfant pleure (hurlements) non stop pendant plus d'une heure.
Bras, musique, histoires ... Rien y fait.
Je reste démunie et j'estime que la place de cet enfant n'est pas en collectivité.
A son détriment (rythme, bruit etc ...) et au détriment de ses camarades pour lesquels je suis moins disponible c'est le moins que l'on puisse dire et qui subissent les pleurs virulents de leur petit camarade.
Je préviens donc le parent par message vocal qu'il me semble préférable, si cela lui est possible, qu'il vienne chercher son enfant qui semble vraiment en souffrance.
Le parent m'annonce qu'un tiers viendra chercher l'enfant dans une demi heure. Dont acte.
L'enfant part.
Le lendemain, retour de l'enfant.
Le parent me fait part de son mécontentement.
Mon message vocal lui a permis d'entendre les pleurs de son enfant ce qui l'a stressé.
De plus, le médecin ayant vu l'enfant l'après midi n'a rien diagnostiqué de particulier et table sur une poussée dentaire.
Je demande donc au parent de penser à me communiquer la page du carnet de santé sur laquelle figure la vaccination.
"Ha non ! Car le médecin a jugé préférable de ne pas vacciner l'enfant au vu de son état !"
J'explique au parent que je peux comprendre que mon appel ait pu lui déplaire mais que je l'ai passé en conscience et en responsabilité. Que je ne suis pas médecin pour établir un diagnostic.
Que le médecin a pu constater l'état altéré de l'enfant puisqu'il a jugé préférable de ne pas le vacciner ce jour là.
Je rappelle également que je n'ai pas refusé l'accueil de l'enfant la veille et que j'ai simplement alerté sur une situation qui m'a semblé inhabituelle et que j'ai conseillé de venir chercher l'enfant "si cela leur était possible".
J'envoie mon décompte du mois samedi.
Je ne déduis rien pour cette journée.
Le parent me demande de déduire.
Qu'en pensez vous ?