Bonjour les filles,
À propos de ce sujet hyper important pour nous, chacun fait ce qu’il peut et pas forcément ce qu’il doit faire pour le bien-être d’un adulte en devenir qu’est l’enfant. Qu’on soit parent ou professionnel, la responsabilité n’est pas identique.
Entant que professionnelles, la responsabilité que nous avons vis-à-vis de l’enfant est limitée dans le temps mais, est gravée dans une période déterminée de la vie de cet enfant d’où l’importance pour nous professionnels de soit rester dans une co-éducation avec les parents qui ne profitent pas de l’éducation bienveillante pour être laxistes; soit d’être « psychorigides » dans les limites à donner à l’enfant chez nous pendant son accompagnement. Ces derniers livrés au laxisme chez eux tireront une richesse de la différence de leurs comportements à l’âge adulte qui sait?
Pour revenir sur l’un des avis de Catie6442, je suis tout à fait d’accord avec toi, « le rôle de l’école n’est pas d’éduquer mais d’instruire », je suis bien placée pour le savoir pour avoir été enseignante de la maternelle au CM2
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Mais quand le manque d’éducation fait obstacle à l’instruction, que fait-on vu que la scolarisation est obligatoire jusqu’à 16 ans?
Oui le manque d’éducation va devenir un véritable fléau avec pour conséquences l’échec scolaire parmi tant d’autres (des parents violents envers les enseignants quand on les convoque pour les mauvais comportements de leurs progénitures, etc.)
Moi, je me suis dit en accompagnant le bébé dès le berceau dans une co-éducation avec des parents, j’apporterais peut-être une minuscule pierre à l’édifice, eh ben non, je me retrouve avec des parents complètement à la merci de nouveau concept t’elle l’éducation bienveillante ( mal interprétée).
Au secours
De toutes manières, un morceau de sucre ne peut suffire à changer le goût de l’eau de mer n’est-ce pas?
Courage les Warriors