Nanou91
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Bonjour les collègues.
Je finis mes contrat en septembre et après j'arrête, je ne continue qu'avec mon petit-fils... et mes futurs autres petits-enfants s'il y en a un jour.
Mais si j'avais du reprendre des contrats, je pense que j'aurai rajouté cette page dans mes contrats.... Histoire que les parents réfléchissent un peu et se rendent compte qu'ils ne vont peut-être pas rendre service à leurs enfants...
La psychologue pour enfant Caroline Goldman avait déjà expliqué que l'éducation bienveillante est une lubie dangereuse. De plus en plus de praticiens se rallient à son avis. Il va falloir comprendre à un moment qu'on ne leur rend pas service aux enfants de nos jours.
Pour info : "
Bannir les punitions, ne pas réprimander son enfant… Ce type d'éducation soit disant bienveillante, parfois qualifié de laxiste, nuit au développement psychique et émotionnel de l'enfant, selon la psychologue et thérapeute Isabelle Pailleau. Car, selon elle, les 12 premières années la vie sont cruciales dans la construction d'un individu. C'est à ce moment-là qu'il développe ses relations aux autres et à la société. Selon la clinicienne, lui imposer des limites sonne donc comme une nécessité psychologique.
"Si on ne fixe pas un cadre, l’enfant va avoir l’impression qu’on ne s’intéresse pas à lui, et cet abandon est une réelle souffrance pour les enfants", explique la thérapeute au micro d’Europe 1. "En fait, on l’insécurise. Pour lui le monde va être un territoire ultra-dangereux, ce qui va réveiller son anxiété", affirme-t-elle.
Des adolescents trop désinhibés ou, à l'inverse, trop réservés
Une anxiété qui peut freiner l'enfant dans ses relations sociales, notamment à l'école. L'absence de cadre peut induire des comportements inadaptés, impulsifs et égocentrés. Une non-maîtrise des codes sociaux qui peut suivre l’enfant jusqu’à l'âge adulte.
"Ça va donner peut-être des adolescents qui vont vouloir se mettre en danger pour tester leurs propres limites. Et peut-être aussi des adultes très impulsifs, etc… Ou bien au contraire, des individus très inhibés, qui auront peur de tout, n’oseront pas prendre des décisions et mettre des actions en place", ajoute Isabelle Pailleau. Sans cadre, rappelle la psychologue, l'enfant peut également se substituer aux parents et endosser des responsabilités qu'il n'est pas en âge, ni en capacité d'assumer".
Ça fait peur.
Je suis bien contente que mon fils et ma belle-fille ne soient pas dans cette mode...
Je finis mes contrat en septembre et après j'arrête, je ne continue qu'avec mon petit-fils... et mes futurs autres petits-enfants s'il y en a un jour.
Mais si j'avais du reprendre des contrats, je pense que j'aurai rajouté cette page dans mes contrats.... Histoire que les parents réfléchissent un peu et se rendent compte qu'ils ne vont peut-être pas rendre service à leurs enfants...
La psychologue pour enfant Caroline Goldman avait déjà expliqué que l'éducation bienveillante est une lubie dangereuse. De plus en plus de praticiens se rallient à son avis. Il va falloir comprendre à un moment qu'on ne leur rend pas service aux enfants de nos jours.
Pour info : "
Anxiété, comportements inadaptés... Les conséquences de l'éducation bienveillante sur les enfants
Dire oui à tout, ne pas fixer les règles du jeu peut entraîner un sentiment d'insécurité et une souffrance chez l'enfant. Cette forme d'éducation laxiste peut ensuite se répercuter sur sa vie d'adulte.Bannir les punitions, ne pas réprimander son enfant… Ce type d'éducation soit disant bienveillante, parfois qualifié de laxiste, nuit au développement psychique et émotionnel de l'enfant, selon la psychologue et thérapeute Isabelle Pailleau. Car, selon elle, les 12 premières années la vie sont cruciales dans la construction d'un individu. C'est à ce moment-là qu'il développe ses relations aux autres et à la société. Selon la clinicienne, lui imposer des limites sonne donc comme une nécessité psychologique.
"Si on ne fixe pas un cadre, l’enfant va avoir l’impression qu’on ne s’intéresse pas à lui, et cet abandon est une réelle souffrance pour les enfants", explique la thérapeute au micro d’Europe 1. "En fait, on l’insécurise. Pour lui le monde va être un territoire ultra-dangereux, ce qui va réveiller son anxiété", affirme-t-elle.
Des adolescents trop désinhibés ou, à l'inverse, trop réservés
Une anxiété qui peut freiner l'enfant dans ses relations sociales, notamment à l'école. L'absence de cadre peut induire des comportements inadaptés, impulsifs et égocentrés. Une non-maîtrise des codes sociaux qui peut suivre l’enfant jusqu’à l'âge adulte.
"Ça va donner peut-être des adolescents qui vont vouloir se mettre en danger pour tester leurs propres limites. Et peut-être aussi des adultes très impulsifs, etc… Ou bien au contraire, des individus très inhibés, qui auront peur de tout, n’oseront pas prendre des décisions et mettre des actions en place", ajoute Isabelle Pailleau. Sans cadre, rappelle la psychologue, l'enfant peut également se substituer aux parents et endosser des responsabilités qu'il n'est pas en âge, ni en capacité d'assumer".
Ça fait peur.
Je suis bien contente que mon fils et ma belle-fille ne soient pas dans cette mode...