Même en comprenant les impératifs des parents, on peut envisager aussi la problématique pour l'assmat.
je lis plus haut qu'il n'y a qu'à coucher les enfants plus tôt !!
Alors, hormis une arrivée, un trajet à l'école qui rendrait ceci impossible, vous avez des enfants qui dorment sur commande vous ? moi, non ! Ils ont un rythme, si je les couche plus tôt, ben ils ne dorment pas, mettent le bazar, ou pleurent.
De la même manière, s'ils sont réveillés par un bruit en plein sommeil, en général, ils se mettent à pleurer.
Certains partent assez tôt, donc pas possible de décaler l'heure du goûter plus tard, certains partent tard.
On ne connaît pas la disposition des pièces de cette assmat, ni les horaires des accueillis, ni les obligations qu'elle peut avoir. On ne peut donc pas dire si c'est de la mauvaise volonté de sa part ou pas.
Les 2 séparations dans la journée, ça peut poser un problème à l'enfant, selon son âge, son caractère. S'il suffisait d'expliquer pour que l'enfant comprenne, se souvienne et se dises au moment T, ah, oui, c'est vrai, c'est normal, pas de souci, le monde serait merveilleux, mais on sait qu'un enfant, malgré nos explications, sera bien incapable de gérer une émotion, et là aussi, cela dépend de son âge.
Légalement parlant, en effet, comme j'ai dit plus haut, l'assmat doit être dispo aux horaires du contrat.
Niveau paiement, le temps de visite chez le pédiatre est payé, car c'est une absence pour convenance perso du paatrent. Les heures non travaillées par l'assmat, qui refuse l'enfant, sont à déduire avec le calcul de la cour de cassation.
Pour le reste, c'est une histoire entre assmat et parent, une histoire de compréhension et de bonne volonté de part ET d'autre.
Perso, je pourrai accepter sous certaines conditions, en fonction de l'horaire, si je suis prévenue quelques minutes avant l'arrivée, histoire de rentrer mes chiens et de les empêcher d'aboyer, s'il m'est possible de faire dormir l'enfant sans risquer de réveiller les autres, et ça, ça dépend du petit. Bref, plein de choses et ne connaissant pas l'organisation de l'assmat en question, ni les habitudes de la maman, ni les relations ou éventuels problèmes entre elles, je me garderai bien de déclarer haut et fort que c'est l'assmat qui est en tort et qu'elle exagère