Je m'en doutais, vu qu'elle pense que la premiere année d'un contrat on aurait pas de congés payés.
Donc il va falloir lui rapeller que oui jusqu'au 31 mai de la première année tous les congés ont été pris sans solde, MAIS qu'à partir du 1er juin l'AM en posant des congés allait être payée en maintient de salaire à concurrence du nombre de jour crédités depuis le 1er jour de son contrat jusqu'au 31 mai donc il n'y aurait du avoir minoration de son salaire en août QUE si elle n'avait pas crédité tous les congés sur la première periode de reference.
Ici ça ne semble pas être le cas donc non pas de trop perçu à rembourser pour aout.
On va donc calculer jusqu'au 9 septembre combien de jours de CPs ont été posés et payés en sachant qu'un jour ferié ne decompte pas un jour de CPs.
On regarde combien de jour de CPs il resterait à poser en stoppant le contrat après cette prise de congés.
Puis on va ajouter les CPs crédités depuis le 1er juin jusqu'au 10 septembre inclus et on arrondis au superieur si virgule.
L'addition des 2 serait à regler en Indemnité compensatrice de CPs.
Donc le salaire de septembre c'est la mensu du 1er au 10 septembre + le solde des CPs. (et le PE doit lui rembourser la somme qu'il vient de recevoir induement pour août!)
Puis de cette somme que les PE devraient on va retirer l'indemnité demandée par le PE du fait d'avoir imposé la non execution du préavis.
A la louche je ne serais pas surprise que ce soit bien le PE qui doivent encore des sous à l'AM et non le contraire.
je pense que le PE vexé de recevoir cette demission, surtout sans préavis, cherche par tous les moyens à se venger en recuperant des sous.
Oui l'absence de préavis imposée donne lieu à indemnité mais pour le reste ils se trompent.