J'ai eu une petite fille comme ça, 11 mois au début de la garde. Une reine qui ne s'assoit pas seule et pleure pour être transporter d'un point A vers B (ce que je n'ai jamais fait bien-sûr, du coup en - d'une semaine elle se déplaçait assise sur ses majestueuses fesses). Elle tapais ses parents et les autres efts, par colère, par exigence, par ennui dès qu'un copain passait à côté...
Avec assiduité, il m'a fallu lui apprendre la frustration et la socialisation.
Mon "non" fût suffisant pour qu'elle n'ose pas sur moi sauf par + ou - 5 fois, des coups de pieds sur la table à langer. "Non" ferme puis elle attendait que je décide de la descendre après un pardon un language des signes.
Ce qui a permis vraiment de cesser ce comportement parmi une multitudes d'outils (explication confiante, substitut positif, réactivité, mise à l'écart....), c'est:
1- Lors des mises à l'écart, je joue, ris avec les autres en l'ignorant elle mais je ne l'ignore pas lors des rires où mon regard est participant entre tous les enfants. (Je fais de même quand pleure, caprice, hurle)
2- Une propagande amicale du matin au soir. "Oh copine R vient d'arriver", copain T adore ton jeu". Si tape, je dis "non ne tape pas ta copine L. Cela a fonctionné se transformant en chamailleries classique. "Vous êtes copine, vous pouvez jouer ensemble". In fine fin même des chamailleries et avec sa copine d'un mois de plus, elles s'auto-géraient. Elle avait trouvé sa place.
3- Apprendre à savoir dire patron quand l'enfant parle sinon en caressant la paume de sa main. Un pardon ni inaudible, ni boudeur, ni forcé. Seul un pardon doux proche d'un sourire est accepté.
Je n'ai jamais eu de grand agissant ainsi du jour au lendemain. Dans mes précédents travails avec des 3-12 ans, je faisait plus ou moins de même à quelques variantes près.