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- 24 Juillet 2024
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Bonjour tout le monde,
Nous sommes PE et depuis avril 2022, nous avons une nounou en garde partagée pour notre fille, née en janvier 2022. Initialement, nous avions une cofamille jusqu'en septembre 2022, lorsqu'ils ont obtenu une place en crèche. Nous avons ensuite trouvé une nouvelle cofamille, qui nous a quittés en septembre 2023 en raison de la maladie grave de leur enfant. Ensuite, une troisième cofamille nous a rejoints, mais ils nous quittent en septembre 2024 pour une place en crèche.
Malgré nos efforts, nous n'avons pas trouvé de nouvelle cofamille pour continuer la garde partagée à partir de septembre 2024 mais nous avons retrouvé une cofamille qui avait déjà une nounou. Nous avons donc dû engager une procédure de licenciement de notre nounou. Avec son ancienneté et les congés d'août, le préavis se termine mi-octobre. Cependant, puisque l'autre famille termine en septembre, nous devons payer seuls la nounou jusqu'à mi-octobre, ce qui triple notre coût mensuel pour 1 mois et demi, c'est à dire jusque mi-octobre (multiplié par 2 car l'autre famille ne sera plus là dès septembre, et même multiplié par 3 car nous dépasserons le plafond de déduction fiscale). C'est financièrement très délicat pour nous mais c'est la loi : dans une garde partagée, si l'une des 2 familles rompt le contrat, la rémunération de la nounou incombe à 100% à la famille restante.
Mais en plus, la nounou nous demande d'arrêter dès le 1er septembre et de recevoir son préavis sous forme d'indemnité, ce qui est financièrement impossible pour nous de lui verser cette indemnité et en plus rémunérer la nouvelle nounou.
Nous avons toujours été conciliants, fermant les yeux sur des jours d'absence pour enfants malades (normalement non rémunérés), arrondissant au maximum les angles. Nous avons toujours fait de notre mieux pour retrouver une nouvelle cofamille, ce qui a fonctionné à deux reprises.
Aujourd'hui, nous sommes dans une situation conflictuelle avec la nounou, la confiance est totalement rompue et elle est très hostile à notre égard. Elle nous accuse d'être malhonnêtes (euphémisme), affirmant qu'en 15 ans de métier, elle n'a jamais connu ça, simplement parce que nous refusons de réduire le préavis à notre initiative. Si elle veut s'arrêter dès septembre, pas de problème, mais c'est à son initiative.
Il faut savoir que la nounou a également eu des problèmes avec la famille précédente, une sombre histoire de deux jours de congés non payés ayant dégénéré alors que leur enfant venait d'être diagnostiqué d'un cancer et qu'on peut comprendre que ce n'était pas forcément leur priorité à ce moment là de bien vérifier le droit du travail. La relation entre la nounou et la cofamille actuelle est également très tendue. Toujours sur des sujets administratifs, elle n'y comprend pas grand chose, et dès qu'on veut lui montrer ou expliquer quelque chose, de toute façon elle part du principe qu'on cherche à l'arnaquer.
Nous avons proposé de doubler son indemnité légale si elle souhaite partir début septembre, mais elle refuse toute solution. Nous lui avons montré des preuves que la réduction de préavis doit être initiée par elle, mais rien ne semble la convaincre. Pire, elle ne revient vers nous avec aucune proposition tangible, juste un vague : "j'estime avoir bien travaillé et mériter cette indemnité". La situation s'est tellement dégradée que nous n'osons même plus lui parler de peur de nous faire invectiver et de subir ses grands discours et calomnies à notre égard.
Nous ne savons pas comment résoudre cette situation. Son hostilité à notre égard est telle que nous avons peur de continuer à lui confier notre fille. Que pouvons nous faire ? Si vous avez des conseils, nous sommes preneurs ...
Merci d'avoir lu pour ceux qui ont réussi à aller jusqu'au bout
Nous sommes PE et depuis avril 2022, nous avons une nounou en garde partagée pour notre fille, née en janvier 2022. Initialement, nous avions une cofamille jusqu'en septembre 2022, lorsqu'ils ont obtenu une place en crèche. Nous avons ensuite trouvé une nouvelle cofamille, qui nous a quittés en septembre 2023 en raison de la maladie grave de leur enfant. Ensuite, une troisième cofamille nous a rejoints, mais ils nous quittent en septembre 2024 pour une place en crèche.
Malgré nos efforts, nous n'avons pas trouvé de nouvelle cofamille pour continuer la garde partagée à partir de septembre 2024 mais nous avons retrouvé une cofamille qui avait déjà une nounou. Nous avons donc dû engager une procédure de licenciement de notre nounou. Avec son ancienneté et les congés d'août, le préavis se termine mi-octobre. Cependant, puisque l'autre famille termine en septembre, nous devons payer seuls la nounou jusqu'à mi-octobre, ce qui triple notre coût mensuel pour 1 mois et demi, c'est à dire jusque mi-octobre (multiplié par 2 car l'autre famille ne sera plus là dès septembre, et même multiplié par 3 car nous dépasserons le plafond de déduction fiscale). C'est financièrement très délicat pour nous mais c'est la loi : dans une garde partagée, si l'une des 2 familles rompt le contrat, la rémunération de la nounou incombe à 100% à la famille restante.
Mais en plus, la nounou nous demande d'arrêter dès le 1er septembre et de recevoir son préavis sous forme d'indemnité, ce qui est financièrement impossible pour nous de lui verser cette indemnité et en plus rémunérer la nouvelle nounou.
Nous avons toujours été conciliants, fermant les yeux sur des jours d'absence pour enfants malades (normalement non rémunérés), arrondissant au maximum les angles. Nous avons toujours fait de notre mieux pour retrouver une nouvelle cofamille, ce qui a fonctionné à deux reprises.
Aujourd'hui, nous sommes dans une situation conflictuelle avec la nounou, la confiance est totalement rompue et elle est très hostile à notre égard. Elle nous accuse d'être malhonnêtes (euphémisme), affirmant qu'en 15 ans de métier, elle n'a jamais connu ça, simplement parce que nous refusons de réduire le préavis à notre initiative. Si elle veut s'arrêter dès septembre, pas de problème, mais c'est à son initiative.
Il faut savoir que la nounou a également eu des problèmes avec la famille précédente, une sombre histoire de deux jours de congés non payés ayant dégénéré alors que leur enfant venait d'être diagnostiqué d'un cancer et qu'on peut comprendre que ce n'était pas forcément leur priorité à ce moment là de bien vérifier le droit du travail. La relation entre la nounou et la cofamille actuelle est également très tendue. Toujours sur des sujets administratifs, elle n'y comprend pas grand chose, et dès qu'on veut lui montrer ou expliquer quelque chose, de toute façon elle part du principe qu'on cherche à l'arnaquer.
Nous avons proposé de doubler son indemnité légale si elle souhaite partir début septembre, mais elle refuse toute solution. Nous lui avons montré des preuves que la réduction de préavis doit être initiée par elle, mais rien ne semble la convaincre. Pire, elle ne revient vers nous avec aucune proposition tangible, juste un vague : "j'estime avoir bien travaillé et mériter cette indemnité". La situation s'est tellement dégradée que nous n'osons même plus lui parler de peur de nous faire invectiver et de subir ses grands discours et calomnies à notre égard.
Nous ne savons pas comment résoudre cette situation. Son hostilité à notre égard est telle que nous avons peur de continuer à lui confier notre fille. Que pouvons nous faire ? Si vous avez des conseils, nous sommes preneurs ...
Merci d'avoir lu pour ceux qui ont réussi à aller jusqu'au bout