1 AN ET FATIGUÉE

[gaelle.b63]

J'ai commencer il y a deux ans. J'ai deux enfants de 7 et 12 ans. Je voulais a tout pris tous cloisonner, La vie pro d'un coté et la vie familial de l'autre. (Ce qui est un peu idiot avec le recule vue que l'accueil se fait dans mon espace de vie et que ma famille cotoie les accueillis à un moment ou un autre.) Montrer que je maîtrisais, organisais et justifiais ma paie et donc en convaincre les parents... mais ils m'avaient déjà choisi, restais plus qu'a faire ce que j'aime faire : prendre soins des enfants.

Ma puer est passé lorsque j'ai demander ma 3ième place, alors que j'exercée depuis 2 mois 1/2 et elle m'a dit que je devais me détendre , et ne pas oublier que je propose un accueil familiale que ce n'est pas une structure et que donc inclure les enfants aux temps de famille fait partie intégrante de mon travail. Que je peux faire les devoirs avec les bébés encore présent, que je peux jouer avec mes enfants et répondre à leurs besoins même lorsque je travaille encore, mon mari peut rentré manger le midi sans que je le signale aux PE, offrir un thé a ma maman lorsqu'elle vient chercher mes enfants pour les amener à leurs rendez vous à ma place et même cuisiner en présence des enfants dans la limite du raisonnable pour pouvoir être vigilante à la sécurité de tous, et organiser aussi des ateliers cuisine avec eux au quotidien sans que ça ne pose probléme ... etc.
Ca me soulager et l'air de rien la chape de plomb que je portais sur les épaules c'est énormément allégé. Je respire d'avantage.
Vous faites bien votre métier. Les enfants ont réussi a créer un lien avec vous. Vos journée roulent... alors détendez vous. Assistante Maternelle n'est pas un métier reconnu, valorisé. Les PE ne vous le montrent peut être pas mais ils sont sûrement satisfait de ce que vous apportez à leurs bébés.

 

[ANNICK44]

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Une chance pour vous d'avoir une puéricultrice qui tient encore ce type de propos.
De plus en plus, le discours est tout autre...

 

[Catie6432]

C’est certain que ce n’est pas ma puer actuelles ni les précédentes.
Cependant, certains points même "autorisés" par certains semble t’il, ne seraient pas intégrés à mon fonctionnement personnel.

 

[Griselda]

Chacun, chacune sa methode après avoir pu identifier qu'est ce qui provoque factuellement la fatigue (trop d'enfants, trop d'heures, plus nos enfants à nous, pas de soutient d'un conjoint trop peu à la maison pour prendre le relais etc...).

Mais au delà de ça il y a aussi à mon sens 2 choses:

- nous ne sommes en général pas prètes à la base à devoir gerer pédagogiquement la relation aux familles, on est prets pour gerer les enfants en constructions mais on ignore combien il peut être des fois compliqué de se faire entendre des familles, on oublie que ces Adultes aussi sont en construction sur ce role là qu'est la parentalité. Et comment inspirrer confiance alors même que nous travaillons seule, isolée.
- un sentiment personnelle que nous devrions compenser, justifier notre professionalisme face à une société qui tout à la fois diras qu'il en faut de la patience pour s'occuper d'enfant mais en même temps estime que ce serait un "job" qui ne demande aucune autre compétence. On méprise déjà volontiers la Femme au Foyer (qui ne "fait rien de la journée" selon la croyance populaire!), l'AM elle serait juste une maline qui en même temps qu'elle est Femme au foyer (fastoche), garde d'autres enfants et se fait un petit pactole à rester tranquillou à la maison.

Alors pour remedier à ça il y a aussi de mieux comprendre qu'est ce qui se joue dans la relation triangulaire Parent-Enfant-AM pour mieux l'aborder.
Se former régulièrement (même en autonomie) pour s'auto-satisfaire d'abord, se gratifier soi même car oui nous meritons d'être formées, oui s'occuper d'enfant est un vraie metier qui mérite donc d'être formé et de sans cesse chercher à mieux comprendre (quand c'est possible!) la cause des jeunes enfants, si fascinants qu'ils sont.
En bref s'octroyer d'abord nous mêmes le respect de notre mission, être fière de nous sans attendre que la société nous le dise.
Curieusement quand l'AM ose elle même affirmer toute la beauté et la complexité fascinante de notre metier alors l'entourage découvre que nous avons raison de le penser.
Au pire il y a au moins une personne pour le penser: nous même.

Si on attends la reconnaissance de l'exterieur mais qu'on ne se l'accorde pas vraiment nous mêmes ça ne fonctionne pas.
Et ça c'est vrai, quelque soit le metier exercé.

 

[criou]

Entièrement d'accord
Nous accueillons les enfants mais nous accueillons aussi les parents avec chacun leur histoire , leurs questionnements, leurs doutes dans leur nouveau rôle
combien de fois je l’ai dit , en tant qu’assmat on est comme de la pâte à modeler, on s’adapté à chacun et évidemment qu’il faut d’abord qu’on fasse preuve de respect déjà envers nous même, que l’on sache reconnaître nos propres limites, nos besoins, avec nous même et avec notre propre famille
Et du moment que les parents sont conscients du bonheur que leur enfant a à venir chez nous , c’est déjà ça la reconnaissance et après le reste suit

 

[Orlhad]

C'est clair que notre métier n'est pas simple : beaucoup d'amplitude horaire, énormément de manutentions, une logistique complexe en solo, des enfants parfois en roue libre et des parents qu'il faut aussi éduquer à la parentalité et au rôle d'employeur. Et tout ces efforts ne garantissent pas la reconnaissance ou ne prémunissent du largage pour cause de concurrence déloyale par la crèche du coin. Il faut accepter tout cela et travailler à prendre de la distance sur ces contraintes. Ne pas se mettre trop de pression au quotidien pour être l'assmat la plus performante et la plus flexible. Ne pas multiplier les activités et sorties pour remplir à tout prix la rubrique "éveil épanouissant maximal du jeune enfant". Accepter ses limites et écouter son corps. Bref, ne pas trop se prendre la tronche. Ce qui compte, c'est que les enfants soient heureux et que les parents vous les confient en toute quiétude. Le reste, c'est de l'accessoire.

 

[Gluglu]

Si au départ je me fichais complètement d'être "mise de côté" au profit de la priorité des enfants et des parents, aujourd'hui je dois admettre que j'ai un peu de mal avec les parents qui ne me demandent absolument jamais comment je vais, qui ne s'intéresse absolument jamais un tant soit peu à moi (je ne dis pas de m'écouter raconter ma vie pendant 10 min hein), je l'avoue.

La plupart des parents avec qui je travaille ont un petit mot pour moi quand j'ouvre la porte, certes un reflex social "comment allez-vous ?", "ça va nounou ?", "alors vos vacances c'était bien ?", "allez bientôt le week-end nounou !", "merci pour les photos de notre loulou, on adore !"

J'apprécie beaucoup. Car même si je ne saute jamais sur ces petits mots pour me mettre en avant, et que je rebondis toujours directement sur l'enfant et sur eux, ils représentent pour moi la preuve que ces parents me considèrent en tant qu' humaine, qu'ils ont conscience que je suis comme eux, que je travaille, que parfois j'attends mes congés avec impatience, comme eux, aussi impliquée que je peux être, et que même si mon travail est "hors norme" il n'en reste pas moins une grande tâche avec moult responsabilités, joie, mais aussi contraintes et fatigue.

Il y a aussi des parents (une seule famille actuellement), qui ne me demandent jamais comment je vais. Qui ne disent jamais merci. Qui, même le jour de Noël, ne viennent pas chercher leur enfant plus tôt tandis qu'ils sont à la maison, et que d'autres viennent plus tôt en me disant en blaguant "allez vous avez bien mérité votre après-midi tranquille, bon réveillon, blablabla."

Des petites attentions qui embellissent et apaisent la relation.

Pour ces autres parents qui, pas du tout par méchanceté envers ma personne, mais par égoïsme lié à leur condition de parents centrés sur leur merveille, ne se posent jamais de question sur mon état, ne se demandent jamais vraiment ce qui m'arrangent et n'ont pas du tout conscience que je ne fais pas cela par passion mais que c'est mon travail comme eux ont le leur, c'est vrai que si on n'a que des parents comme ça, le moral peut être en berne et la fatigue arriver.

C'est là qu'il faut savoir puiser dans ses ressources personnelles et se rappeler que, ce n'est que notre travail, on le fait correctement pendant le temps qui nous est imparti, mais on n'a pas d'obligation à viser la perfection et à viser le spectacle de magie chaque jour.

 

[Gluglu]

Les parents et les enfants sont un peu notre seul reflet sur notre travail, au quotidien. Alors quand on sort de l'hiver, qu'on aurait besoin de chaleur, dans nos relations, on a tendance à se fatiguer parce que ce qu'on attend comme regard sur notre travail ne nous est pas donné de manière explicite.
C'est pour cela que j'ai parlé de l'analyse des PP. Parce qu'elle permet une prise de recul et surtout de se rendre compte que le regard sur notre travail peut venir d'ailleurs, de collègues, mais aussi de nous-mêmes ! Mais pour ça il faut relâcher la pression

 

[Jeanine1]

Salut à toutes

Cela fait un peu plus d'un an que je fais ce métier et je suis épuisée. Surtout par les p
arents.
J'adore être avec les enfants et je m'en occupe bien
Mais jai une pression inexpliquée des parents même s'ils sont gentils.
J'aime pas qu'ils puissent me reprocher quelque chose ou les sous entendus.
En 1 an j'ai vu passé 6 enfants donc 6 parents et je commence un peu à fatiguée du métier après seulement 1 an.
Est ce normal ?
J'ai 2 enfant de 6 et 7 ans mais qui ne sont pas dérangeants.
Peut être l'alliage des deux ?

Des conseils pour être rebooster ou pour faire abstraction de cette pression que je me mets pour satisfaire les parents ?

Bonjour MAFIH,
Non ce n’est pas normal si tu viens juste de commencer car, au regard des nombreuses années qui te restent à faire, tu ne tiendras pas à ce rythme.
Peut-être être que tu en donnes plus qu’il n’en faut ?
Peut-être une question d’organisation dans le choix:
des âges?
du nombre d’enfants?
Je pense que ce que tu ressens peut juste provenir d’une pression que tu te mets toute seule puisque dans ton écrit, on peut ressentir la présence d’une motivation mais comment faire pour maintenir cette motivation à long terme afin de perdurer dans ce métier un peu hors norme?

Essaye de ne pas t’écarter de ton contrat d’accueil (soigneusement écrit et signé par les parents) en acceptant des demandes qui te pèseront un jour ou l’autre. N’oublie jamais, il suffit d’une fois…
Reste dans tes droits pour mieux gérer tes devoirs.

Même en respectant tout cela, il peut avoir des coups de blues dus à la fatigue normale inhérente à toutes activités. Dans ces moments-là, écoute ton corps, prends du recul et viens te détendre ici sur le forum (si tu en as envie).
En se sachant entourée et écoutée, cela peut nous réconforter.

Je te cite:
« J’adore être avec les enfants et je m’en occupe bien. Mais une pression inexpliquée des parents même s’ils sont gentils »

Bienvenue au club! Tu n’es pas la seule à penser ou à ressentir cela et ça n’a rien à voir avec l’ancienneté. Je ressens la même chose après 21 ans de ce métier; si cela peut te rassurer un peu.

Ne te laisse pas influencer par les parents et c’est là que ta propre personnalité brut de coffrage peut résoudre ou aggraver ce problème.
Pense d’abord à tes intérêts personnels et surtout à ta santé (denrée précieuse).
Du moment où tu fais bien ta besogne et te sens bien droite dans tes bottes, tu te fiches un peu du reste (reproches perturbateurs).
Bon courage et pense à ton organisation personnelle.

 

[Jeanine1]

@Gluglu au début de la maternelle, j'avais l'impression d'être une dompteuse de fauve! de devoir gérer toute la décharge émotionnelle et physique du ''fauve'' qui s'était contenu (sage comme une image) à l'école et qui revenait à la maison. Parfois ''gérer nos enfants '' est le bon terme

J’ai bien ri
C’est exactement ça!
À l’école, «les fauves » ne peuvent pas s’échapper (les compétences prennent en compte le fait d’être discipliné comme une image tout en écoutant l’enseignant(e); car la cage est bien verrouillée mais, chez nous, c’est la liberté totale où les besoins des enfants sont respectés et pas d’objectifs à atteindre si ce n’est jouer pour grandir
J’ai bien aimé ta métaphore

 

[LiliePoussin]

Bonjour,

La 1ere année a été stressante aussi pour moi, quand j'ai fais ma 2eme partie de formation obligatoire, ça m'a permise de mettre le doigt sur ce qui me pesais. J'avais l'impression d'être une "mauvaise nounou" parce que je ne faisais pas ci ou ça, et je me le reprochais.
Et pendant cette 2 eme partie, nous faisons de l'analyse de pratique et je me suis rendue compte que c'était plutôt bien ce que je fais.

Et j'ai plutôt regardé ce que je faisais avec eux et ce que je voulais faire au fil du temps. J'ai fais une formation a distance,( 1 geste, 1 signe), j'ai pu créer des activités et routines avec les enfants en plus du reste et ça remplit bien mes journées et les parents m'en parlent puisque les enfants pratiquent chez eux également.

Sois gentille avec toi, tu vas trouver ta place au fil du temps. Surtout n'attend rien des parents, ils ne sont pas tous expressifs et certains ne sont pas reconnaissants. Du moment que tu es contente de toi et que les enfants sont épanouis chez toi, c'est l'important.

 

[violetta]

Bonjour @MAFIH.
Si, au bout de 1 an, vous êtes épuisée, je pense qu'il n'y a pas 36 solutions.
Prenez un temps de réflexion, un stylo et vous listez tout ce qui vous fatigue. (Avec les enfants, cela semble bien se passer, c'est déjà primordial, car il faut beaucoup de patience, de disponibilité, mais bon, c'est notre boulot)...il faut quand même faire le point, combien d'enfants accueillez-vous ? Vos horaires ????il faut savoir rester raisonnable ce qui permet de pouvoir prendre un peu de recul sur certaines situations.
Je crois comprendre que les soucis, ce sont les parents ???
Quels genres de problèmes ???? Irrespect des horaires, de votre domicile etc....
Ne serait-ce pas votre gentillesse qui vous fait du tord ????
Si vous pouviez nous expliquer ce qui vous fatigue concrètement, on pourra vous donner des conseils.
C'est aujourd'hui qu'il faut réagir et vous posez les bonnes questions, vous avez 1 an d'expérience, vous savez donc ce que vous n'acceptez plus, vous avez le recul nécessaire.
Faites-vous des formations??? Cela pourrait vous aider.
Avez-vous des moments d'échanges (RPE, collègues..)?

 

[LiliePoussin]

Ah oui! Je fais du sport également, pilate le mardi et zumba le mercredi, ça me permet d'avoir une coupure et une vie sociale autre que les PE ou accueillis.

Le Jeudi ou le Vendredi on fait une marche avec mon mari, ça permet de discuter de tout et de rien, sans parler d'organisation RDV etc...
J'ai aussi des horaires qui me permet d'avoir du temps 8h45- 16h45 ( le bonheur ).

 

[violetta]

D'accord avec vous @LiliePoussin, le sport prend une grande place dans mon quotidien aussi....depuis toujours.
On se sent mieux dans son corps, ça aide à maintenir son poids, à évacuer et dans notre boulot, c'est primordial.
Beaucoup de mes collègues font du sport en salle, elles se motivent, même celles qui n'étaient pas sportives à la base y prennent goût et ressentent de l'amélioration dans leur quotidien.
Perso, je fais du sport en solo ou avec mon conjoint car je préfère et je n'ai besoin de personne pour me motiver.
Au RPE, je suis la sportive du groupe, je propose de temps en temps des exercices au sol ou des jeux de groupe à l'extérieur....certaines ont des problèmes de poids mais sont volontaires.
Vive le sport !

 

[caroline99]

Que tu as de la chance lyliPoussin d'avoir des horaire super cool qui te laisse du temps pour toi.
Moi je finis trop tard pour pouvoir avoir une vie sociale
J'aimerai faire tellement de choses.
Alors le soir près le départ des loulous 18h30j'enchaine sur les devoir le bain le rangement et et.
repas
Allez une soupe et au lit !

 

[Griselda]

Ensuite, avec beaucoup de pistes qui se rejoignent à peu près toutes, sache que tu as le droit de finalement penser "ce metier n'est pas autant fait pour moi tel que je le pensais" et crois moi que tu ne serais pas la première à changer ton fusils d'épaule.
Tu peux reflechir à changer ton organisation personnelle et familliale, ta vision sur tes propres exigeances envers toi même, mais ça peut aussi être je veux encore travailler avec des enfants mais pas en tant qu'AM chez moi, ça pourrait être dans une MAM, dans une creche, à l'école en tant qu'ATSEM, en centre de loisirs ou bien même un tout autre metier car je crois fermement que nous ne sommes pas "bon à" exercer qu'une seule sorte de metier. Je n'ai pas toujours été AM...
A toi de trouver ce qui te rends "suffisament" heureuse, en accord avec toi même.

 

[Sarah7984]

Quand on a de jeunes enfants c'est toujours plus difficile, les devoirs , les bains , le ménage, le repas et j'en passe ......au début comme vous je me suis mis la pression, puis j'ai pris conscience que c'était avant tout un accueil familial donc mes enfants faisaient leur devoir en présence des accueillis ( pendant leur jeux libre) une chose de moins à faire, question ménage je ne me prends pas la tête, une grande partie est faite pendant les siestes, l'aspirateur est passée en leur présence, pour moi le ménage fait partie de mon métier il est donc normal qu'il soit fait sur mon temps de travail et donc rémunéré ( aucun autre métier demande des heures de ménage sur son temps perso ) .les repas du soir sont simples et vite fait, je garde les repas qui demande de la préparation uniquement le weekend.

 

[Jeanine1]

@Sarah7984
« question ménage je ne me prends pas la tête, une grande partie est faite pendant les siestes, l'aspirateur est passée en leur présence, pour moi le ménage fait partie de mon métier il est donc normal qu'il soit fait sur mon temps de travail et donc rémunéré ( aucun autre métier demande des heures de ménage sur son temps perso ) . »

Bonsoir Sarah,
Ce n’est pas faux MAIS, il y a des enfants qui ont peur du bruit d’aspirateur et cela ne doit pas être évident d’avoir des enfants dans les pattes en passant votre aspirateur.

 

[flonounou]

J'ignorais que l'on pouvait faire des tâches ménagères en présence des accueillis. Je fais toujours mon ménage après leur départ.

 

[Jeanine1]

J'ignorais que l'on pouvait faire des tâches ménagères en présence des accueillis. Je fais toujours mon ménage après leur départ.

Bonsoir Flonounou,
Je fais comme toi. Je fais le ménage après le départ des enfants.
Il n’y a pas d’interdiction il me semble mais personnellement, je ne me le permettrais pas, car il suffit parfois d’une fraction de seconde d’inattention pour que le pire arrive.
Chacune reste responsable de son organisation.