C'est pour cela qu'il faut toujours échanger par écrit en prenant bien soin des mots utilisés. Toujours calme, polie, et toujours poser tous les éléments de la problématique :
Ici
1/ Le préavis ne devait pas être travaillé suite au souhait de l'employeur
2/ C'est l'employeur qui est à l'origine de la rupture du contrat de travail
3/ Finalement revirement ce matin avec l'annonce de l'arrivée de l'enfant à 11h.
4/ Vous ne refusez pas d'accueillir l'enfant alors même que l'employeur avait annoncé un préavis non travaillé.
5/ A 14h, constatant l'absence de l'enfant (3h après l'horaire d'arrivée annoncé par l'employeur), vous vous rapprochez de l'employeur pour vous en étonner et lui préciser que le temps de sieste n'est pas adapté à l'arrivée de l'enfant ce qui semble avérer que finalement, celui ci ne sera pas confié aujourd'hui.
6/ Vous en profitez pour demander à cet employeur de bien vous confirmer son souhait concernant un préavis travaillé ou non travaillé, en lui précisant être disponible pour accueillir l'enfant sur les bases horaires prévues au contrat.
Rester factuelle. Toujours. Pas d'état d'âme du style "c'est pas gentil", pas de colère exprimée. Du calme et de la politesse.
Dans sa réponse, elle ne semble remettre en cause aucun de ces éléments.
Et si son seul reproche est votre prétendue paresse à vouloir travailler, tous ces points démontrent l'exacte contraire.