Bonjour Emmanou21,
Bravo! Tu as résumé ce que je pense tout bas, ce que je n’ai pas osé dire pour que cela ne soit interprété comme un jugement
Effectivement, si à 28 mois cette grande fille a toujours été gardée que par sa maman, c’est nulle doute difficile pour elle de respecter en 3 semaines les règles en collectivité et cela peut aisément se comprendre. Donc, perso, je ne peux prendre La Défense de personne mais, je refuse de jeter la pierre à ma collègue aux seuls faits relatés par une Maman elle-même peut-être angoissée de confier ses petits trésors vu qu’elle s’en est occupée elle-même tout le temps.
À sa place si on a pas encore totalement confiance, on peut imaginer tout voire n’importe quoi et cela peut entraîner des inquiétudes en permanence.
Un bébé de 5 mois peut pleurer en permanence ça nous en avons pour la plupart fait l’expérience et en plus pour si peu de temps…
Si la collègue a l’expérience, elle peut patienter par rapport aux pleurs ou démissionner si cela ne s’arrange pas au bout de quelque temps.
Au moins 3 choses précordiales pour l’asssmat:
1) La patience dans sa bienveillance
2) la confiance dans sa bienveillance
3)) la communication et le dialogue
Pour le parent:
1) Une confiance totale car il confie ce qu’il a de plus cher au monde
2) un respect réciproque qui implique une patience
3) une communication et un dialogue sincères (malheureusement certains parents ne sont pas toujours dans la réalité de ce qu’ils observent chez leurs enfants à la maison par exemple pour les pleurs, le sommeil, l’alimentation, le pot et j’en passe…)
Si chaque partie n’est pas dans son rôle, laisser tomber car conflit garanti.
Oui Emmanou21, d’accord avec toi que si cette maman porte beaucoup d’inquiétudes et s’imagine ce qui n’est peut-être pas vrai, il vaut mieux pour elle de continuer à garder ses petits trésors pour sa propre tranquillité du cœur car, si elle reste angoissée, l’épigénie que sont les enfants, le ressentiront et aucune assmat ne pourra la satisfaire.
J’ai honte de le dire mais, je vais vous faire une confidence; moi j’ai abandonné ma thèse de doctorat en sciences de l’éducation pour s’occuper de mes enfants parce que je ne voulais pas les confier à qui que ce soit, je n’avais pas confiance tout simplement donc c’était moi le problème; je me rendais malade alors que mes enfants auraient pu s’éclater en collectivité, bref…
Faisons confiance tant qu’on a pas toutes les preuves de ce qui pourrait nous perturber.
J’espère que cette maman et la collègue pourront s’expliquer dans une communication saine avec pour objectifs la sécurité et le bien-être des enfants, c’est tout le mal que je leur souhaite.