Anecdote embarrassante

[Jeanine1]

@Jeanine1 mais comment ne t'en es-tu pas rendu compte

Là est toute la question lol
J’avais énormément de soucis à l’époque donc un cerveau en ébullition

 

[Jeanine1]

Voilà ce qui peut arriver lorsque l'on est en "pilote automatique".
Heureusement, rien de grave dans ce cas.
A part un grand moment de solitude

C’est exact Catie, ce jour-là, il fallait que je sois au lycée de 8h à 11h, à 13h, j’avais ma soutenance de maîtrise à la Fac et à 16h un rendez-vous avec mon avocate….
Le stress était de taille, je dirais même que ce n’est plus du stress mais de l’anxiété donc OUI, j’étais comme en « pilote automatique »

 

[sisi79]

Mon fils après avoir vu les visiteurs 1, il était petit, voit un monsieur noir, il se retourne vers mois et me dis "maman un sarrasin" !!!!! Bon le monsieur à bien rit mais moi non, très mal à l'aise.
Aujourd'hui notre fils vit avec une fille réunionnaise et lors d'un repas il à sortit sa blague, mon mari et moi toujours aussi mal à l'aise, il avait volontairement oublié de nous dire qu'ils connaissaient la blague pffff

 

[Jeanine1]

@kikine
« haaaa les gosses... ils sont responsables de bien des situations gênantes eux aussi.. »

Et comment? Je confirme
En 1986, j’étais en vacances à 6000 km de Paris chez une de mes grandes sœurs.
Elle était rentrée hyper fatiguée du travail et va directement se coucher. Avant de s’enfermer dans sa chambre, elle donne une consigne à tout le monde en criant:

« pitié, je ne suis là pour personne, on ne me réveille pas, surtout pas pour Laurent» et elle ferme sa porte à double tours.

Nous étions au moins 5 sur la terrasse avec l’une de ses petites filles de 3 ans et demie.
Une heure plus tard, l’un des meilleurs amis (Laurent en question) de ma sœur se pointe pour l’emmener boire un coup.
La petite que je qualifiais de timide a couru vers ce monsieur et lui dit en criant:
Je sais tu veux voir mémé, mémé ne veut pas te voir, elle n’est pas là, c’est elle qui a dit, pas là pour personne, surtout Laurent Chut, elle dort, rentre chez toi, tu déranges pas mémé, au revoir.
L’innocence infantile qui perturbe