Mission / rôle de l'ass maternelle

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C'est triste car j'ai voulu agir pour le bien de l'enfant . Être une bonne personnelle . Raté !
 

Alors facile à dire mais pas à faire
Prenez sur vous et défendez le jour J votre positionnement face à la situation et des informations que vous aviez à disposition .

Oui cela est triste mettez en avant que vous jugiez bon et dans l'intérêt de l'enfant votre refus
En espérant que tout cela ce passe bien pour vous
 
pour des moments comme celui ci, il peut être bon d'aller voir son médecin pour obtenir des calmants
 
En fait vous avez été juge.
Ce que vous n'auriez pas dû.
On vous a dit ceci..oui.
Quand je suis en soirée je prends l'apéro.
Quelqu'un qui me connaît comme ça pourrait dire..eh bien l'assmat la elle boit son coup !
Oui mais suis-je en alcoolémie sur mes temps de travail ? Bois je de l'alcool sur mon temps de travail ? Non.
Là sur ce point c'est idem.
C'est diffamatoire.
 
Bon oui là c'est un peu complexe car cette personne était bien autorisée par les Parents et seul le Père était au courant ou du moins d'accord avec ton besoin de ne pas être mêlée à ce problème d'une personne qui ne t’inspirait pas confiance.
Légalement était ce possible ainsi?
Je crains que non. Les ouïe dire ne suffisent pas à refuser d'obeir à l'ordre donné par ton employeur qui est de confier l'enfant.
Si au moment où cette personne se présente elle montre clairement des signes qu'elle ne serait pas dans son état normal alors tu pouvais contacter les Parents pour leur demander leur avis et si tu n'étais pas d'accord avec eux alors fallait il faire intervenir les forces de l'ordre en leur disant que tu suspectais que cette personne était sous emprise de drogue. Seul les gendarmes ou policiers pouvaient alors attester de l'état de la personne en procédant à un test. Mais tu n'avais pas pour autant le droit de ne pas confier l'enfant, seulement de gagner du temps pour que les gendarmes se déplacent et la prenne en flag' (conduire sous alcool ou stup est interdit). Mais si cette personne est clean quand elle vient prendre l'enfant tu ne peux encore moins refuser de la lui donner.
N'importe comment il convient de prevenir la PMI mais en effet avec seulement des ouïes dire au sujet de cette personne ça allait prendre du temps pour que quelqu'un bouge.

Franchement je pense que oui je serais très agacée dans un premier temps de me faire virer comme une malpropre pour avoir voulu proteger un enfant mais très sincèrement peut être serais je aussi soulagée de ne plus avoir à gerer ce problème: être responsable de la personne à qui je confie l'enfant, même si c'est en obeissant aux ordres des Parents. Je ne rentrerais donc pas en lutte contre ce licenciement qui de toute façon aurait tout aussi bien pu être un simple retrait d'enfant, ça n'aurait rien changé.

Par contre si ce n'est pas déjà fait, oui je fais un écrit auprès d ema PMI puisque j'ai matière à être inquiète pour cet enfant car si la Maman place l'amitié envers sa copine au dessus de la protection qu'elle doit à son enfant c'est quand même ennuyeux. D'autant plus si tu sais qu'ils sont consommateurs eux aussi...
 
@jibus je te comprends. Je ne laisserai pas partir un enfant avec une personne qui consomme de la drogue. Imagine que cette personne prenne quelque choses avant d'arriver chez toi et qu'elle prenne sa voiture avec l'enfant... tu as tres bien fait. C'est dommage que la maman ne comprenne pas que ce que tu as fait etait pour le bien de l'enfant. Combien y a t'il d'accident suite a la prise de drogue ...
J'espere que tu as un avocat pour t'aider et te conseiller. C'est vrai que c'etait des ''on dit'' mais je ferai comme toi. Peut-être a une seule différence, vu que cette personne était notee comme personne ''de confiance'', parlez de vos craintes avec les PE avant. ...
 
je ne veux pas être alarmiste mais... voilà ce qui arrive quand on accuse sans preuve...
ça s'appel la calomnie et effectivement c'est punissable par la loi
vous n'aviez pas a refuser de lui remettre l'enfant, les parents vous l'avaient demandé, cette personne était noté au contrat comme personne de confiance
et pour info même la police ne peut accuser quelqu'un d'avoir pris des stupéfiants sans avoir fait un test salivaire... alors une ass mat ...
bref vous êtes mal
 
En plus je ne sais pas si tous textes de loi de notre profession t'aiderai, car tu ne passes pas au Tribunal pour ''l'enfant'' en soi mais pour ''denonciation mensongère''. De toutes façons si tu as un avocat, il peut peut-être interrogé les PE de l'enfant, ils ne pourront pas nier que leur amie se droguer. .
 
Les peines sont toujours proportionnées ne vous inquiétez pas, vous partiez d'une bonne intention dans l'intérêt supérieur de l'enfant. Le Juge comprendra cela. Peut-être que vous avez eu raison, peut-être que vous avez eu tord. Ce sont toujours des situations très délicates à gérer où aucune réaction n'est la meilleure au final. Car oui il serait arrivé un accident à cet enfant, on vous aurait aussi accusé de manque de vigilance. Bref on doit être parfaite toujours tout le temps, l'erreur est humaine, même la PMI ne vous en a pas tenue rigueur, donc essayez d'aller au procès zen avec votre avocat, en disant que vous étiez dans une situation délicate, qu'il était difficile de connaître la meilleure attitude à adopter. Vous avez agit en conscience avec vos valeurs, le juge en prendra compte. Et il y a aussi le fait que le père était ok avec vous, que ce n'était pas la meilleure personne pour venir chercher l'enfant et qu'il allait trouver une autre personne, pour moi c'est un argument qui va en votre faveur. Tenez nous au courant de comment cela c'est passé. Courage chère collègue !
 
Seulement si on peut démontrer que l'état de cette personne ne pouvait pas échapper à l'AM, ce n'est donc pas aussi simple, loin de là, d'autant qu'en confiant l'enfant elle obéit aux ordres du PE.
Là où il y aurait souci c'est si on peut démontrer que l'AM elle même a amené cette personne à consommer avant de prendre le volant avec l'enfant...
 
Bonsoir,
c'est un peu compliqué car on ne peut ni vous donner tord ni vous donner raison. Vous n'avez pas eu tord, car d'un point de vue du ressenti, votre conscience professionnelle a tiré la sonnette d'alarme concernant la réputation de cette personne et il me paraît logique que vous étiez un peu réfractaire quant à lui confier l'enfant et ce même avec l'aval des parents. Mais malheureusement la loi n'est pas de votre côté, primo parce qu'une assistante maternelle n'est pas assermentée, secondo vous n'aviez aucune preuve de ce que vous avancez et tertio vous vous êtes substitué à la responsabilité parentale en ne confiant pas l'enfant à la personne qu'ils vous avaient désigné sur contrat. Je sais c'est décollant mais c'est comme ça, car au tribunal un juge se réfère aux lois et non aux ressentis aux impressions ou aux ouïes dires. Pour minimiser votre comportement faites jouer votre conscience professionnelle.
Bon courage pour la suite.
 
Bonjour la situation n’est pas simple , les parents l’ont mentionner comme personne de confiance aux contrats , en plus vous avez été avertie que cette personne devais venir prendre l enfant , vous n avez pas de preuve de vos dires ce sont des ont dits après cette personne c’est peut être aussi sevré vous n’en savez absolument rien , désolé ont ne fait pas passé des test alcoolémie ou drogue aux parents non plus ils pourraient très bien en consommer aussi sans que nous le sachions , je pense que le licencié pour faute sera maintenue , après pour les accusations expliquer votre point de vue , je pense que le papa ne plaidera pas pour vous il ne vas pas ce mettre sa femme a dos et leur amie , vous auriez dû rester neutre j ignore même si vous êtes autorisé à refusé de donner l enfant juste sur des suppositions, parce que vous le dites vous même des ont dit , si mon bailleur avait écouter les ont dits d une voisine j étais une femme battu et mon mari un alcoolique est oui part jalousie une voisine assistante maternelle m’a d’énoncée au bailleur est à la pmi comme femme battue et mon mari comme un alcoolique malgré le courrier j ai rien pu faire c’était des ont dits aucune preuve de qui avait écrit le courrier déduction faite j ai vite trouvé le nom de la personne , donc attention avant d avancer des choses que l ont ignore même si le papa a reconnu qu effectivement cette personne avait consommé des produits stupéfiants y a de jour heure de précis
 
Oui et en même temps les puers ou en formation on nous dit bien de ne pas remettre l'enfant si le parent (ou tiers de confiance peu importe) nous paraît alcoolisé ou sous l'emprise de stups, qu'on a une responsabilité vis-à-vis de cela. Donc ce sont toujours des situations extrêmement délicates à gérer. Donc rien n'est tout noir ni tout blanc. J'espère sincèrement que vous reviendrez nous donner de vos nouvelles chère collègue !
 
@MeliMelo
Lors de ma formation, nous avons eu un discours inverse.
Nous n'avons pas l'autorité judiciaire ou policière, pour déterminer si'X ou Y est alcoolisé ou sous l'emprise de stupéfiants.
Elles , elles n'ont pas à vous dire que vous devez refusez de confier l'enfant, elles savent pertinemment que c'est en dehors de nos possibilités.
Juger une personne sur des sources..hum mėfiance.
Là justement on en voit les limites, tu affirmes que le juge sera bienveillant. Vraiment ?
On peut aussi penser que notre collègue à ruiner la réputation d'une tierce personne , sans aucune preuve et que cela à pu avoir des répercussions dans sa vie personnelle.
 
La première difficulté ce sont les discours contradictoires. En formation, on nous a bien mis en garde et expliqué que nous ne pouvions pas refuser de confier l'enfant, tout au plus essayer de parlementer et appeler un des parents, une autre personne notée au contrat voire la police si on n'a pas réussi à raisonner le parent et qu'il repart avec l'enfant en voiture. Par contre notre puer ne cesse de nous répéter le contraire : de ne pas confier l'enfant...mais elle n'est pas juriste ;).
La seconde difficulté c'est que l'on confond parfois ce qui est "bien" et ce qui est "légal".
En ne confiant pas l'enfant car vous pensiez qu'il était potentiellement en danger, vous avez "bien" agi si on se place d'un point de vue "moral", l'intention était bonne. Par contre légalement vous avez commis une faute.
 
Je n'affirme pas que le Juge sera bienveillant, mais que les peines sont toujours proportionnées à l'acte et qu'il peut aussi comprendre la situation. Là GeneralMetal tu parles de nuisances mais il ne faut pas exagérer, c'est resté entre l'assistante maternelle, les parents et l'amie. C'est clair que juger une personne sur des rumeurs c'est pas top, mais perso tant qu'on n'a jamais vécu la situation on ne peut pas juger. J'imagine que j'entends toujours parler de M. MachinChose comme le poivrot du village, et qu'un de mes PE me dit que c'est un ami à eux et qu'il viendra chercher l'enfant, parents eux-mêmes ex-alcooliques, ba voilà je peux me poser des questions moi aussi. Je trouve que rien n'est simple en réalité. Et l'ass mat n'a pas refusé de donner l'enfant en direct devant la personne en question, elle en a parlé aux parents avant et le père était ok pour changer de personne, donc il n'y a pas eu de rétention d'enfant comme certaines le disent. Bref de toute façon ce n'est pas à nous d'être juge de cette histoire.
 
@MeliMelo
Lors de ma formation, nous avons eu un discours inverse.
Nous n'avons pas l'autorité judiciaire ou policière, pour déterminer si'X ou Y est alcoolisé ou sous l'emprise de stupéfiants.
Elles , elles n'ont pas à vous dire que vous devez refusez de confier l'enfant, elles savent pertinemment que c'est en dehors de nos possibilités.
Juger une personne sur des sources..hum mėfiance.
Là justement on en voit les limites, tu affirmes que le juge sera bienveillant. Vraiment ?
On peut aussi penser que notre collègue à ruiner la réputation d'une tierce personne , sans aucune preuve et que cela à pu avoir des répercussions dans sa vie personnelle.
j'ai eu le même discours
et enceinte de ma dernière, un de mes accueilli avait sa maman qui venait le chercher tous les soirs, elle titubait
elle était a pied et habitait a 500m de chez moi, je n'ai rien pu faire
retenir l'enfant était pour moi hors de question, je ne connais pas ses réactions, certains ont l'alcool violent
 

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