Catie6432
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La valeur donnée à l'objet est toujours plus grande quand l'enfant constate qu'il est convoité par un autre camarade.
C'est pour cela qu'à peine récupéré, il s'en désintéresse (la valeur de l'objet est demonetisee) quand l'enfant dépouillé de l'objet s'intéresse ensuite à un autre objet.
C'est alors ce nouvel objet qui trouve valeur d'intérêt aux yeux du petit "kleptomane".
C'est ce que l'on appelle le désir mimétique.
Les neurones miroirs sont activés.
Sur faire ?
Proposer une alternative à l'enfant "demandeur".
Demander à l'autre enfant de laisser le jouet au demandeur ne fait que déplacer le problème puisque c'est souvent le nouvel objet substitut que va prendre l'enfant qui deviendra l'objet désirable de son camarade.
De la patience.
Détourner l'attention.
"Expliquer" la patience.
Dire que l'on comprend qu'il ai très envie de l'objet. Qu'il en a le droit. C'est normal. A ce stade de son développement c'est assez classique. Ne pas être dans le jugement mais dans l'accompagnement.
D'ailleurs, même adultes et disons plus "raisonnables" nous sommes confrontés à ce type de stimulis.
Le dernier objet ou un objet repéré comme convoité par un tiers nous le rend souvent impérieusement désirable. A qui l'aura le premier. On est parfois capable de se mettre en compétition pour un article en solde par exemple.
Alors, demander à un enfant de s'auto réguler dans l'expression de son ou ses désirs ...
C'est pour cela qu'à peine récupéré, il s'en désintéresse (la valeur de l'objet est demonetisee) quand l'enfant dépouillé de l'objet s'intéresse ensuite à un autre objet.
C'est alors ce nouvel objet qui trouve valeur d'intérêt aux yeux du petit "kleptomane".
C'est ce que l'on appelle le désir mimétique.
Les neurones miroirs sont activés.
Sur faire ?
Proposer une alternative à l'enfant "demandeur".
Demander à l'autre enfant de laisser le jouet au demandeur ne fait que déplacer le problème puisque c'est souvent le nouvel objet substitut que va prendre l'enfant qui deviendra l'objet désirable de son camarade.
De la patience.
Détourner l'attention.
"Expliquer" la patience.
Dire que l'on comprend qu'il ai très envie de l'objet. Qu'il en a le droit. C'est normal. A ce stade de son développement c'est assez classique. Ne pas être dans le jugement mais dans l'accompagnement.
D'ailleurs, même adultes et disons plus "raisonnables" nous sommes confrontés à ce type de stimulis.
Le dernier objet ou un objet repéré comme convoité par un tiers nous le rend souvent impérieusement désirable. A qui l'aura le premier. On est parfois capable de se mettre en compétition pour un article en solde par exemple.
Alors, demander à un enfant de s'auto réguler dans l'expression de son ou ses désirs ...