MeliMelo
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Bonjour,
vous semblez au bout du rouleau. Je conseillerai comme les collègues de prolonger votre arrêt car vous ne pouvez pas reprendre dans cet état d'esprit, la santé avant tout. Ne minimisez pas ce que vous ressentez devant votre médecin, il doit prendre en considération votre mal-être, ce n'est pas en 10 jours que vous pouvez vous requinquer. N'hésitez pas à consulter des psys aussi car vous revenez de loin, votre corps avec votre mâchoire vous a dit stop bien avant aujourd'hui. Vous dites que vous êtes là pour votre mari, pourquoi ? Ne peut-il pas s'occuper de lui-même, ne peut-il pas aussi s'occuper de vos filles ? Car en plus de votre métier, vous semblez avoir beaucoup de charge mentale familiale sur votre dos.
J'ai l'impression que votre raz-le-bol est également lié à vos employeurs qui ne vous respectent pas. Faites une sélection radicale lors des prochains contrats si vous continuez, ne prenez que ceux qui vous respectent. Quitte à attendre ou que ce soit un contrat moins intéressant, je préfère vraiment choisir de bons parents avec qui j'ai le feeling pour ma part. Posez à plat ce que vous voulez et ce que vous ne voulez plus. Visiblement vous aimez accueillir des enfants, et j'ai l'impression que c'est le contexte ambiant que vous ne supportez plus. Si vous continuez le métier, il y a des choses qui resteront (les jouets, les cris par exemple) mais il y a beaucoup de choses qui peuvent changer (les appels intempestifs, les retards, les remarques désobligeantes etc.) en étant plus ferme ou en choisissant des parents plus respectueux.
Je me permets aussi une petite remarque, vous dites que vous ne pouvez pas démissionner. Là il n'en est pas question car le mieux est l'arrêt maladie pour vous, mais une fois requinquée, bien sûr que si vous pouvez démissionner. Il y a sans doute des choses à travailler sur vos peurs. Vous êtes à un carrefour de votre vie et vous le sentez. Bon courage chère collègue, après l'hiver arrive toujours le printemps.
vous semblez au bout du rouleau. Je conseillerai comme les collègues de prolonger votre arrêt car vous ne pouvez pas reprendre dans cet état d'esprit, la santé avant tout. Ne minimisez pas ce que vous ressentez devant votre médecin, il doit prendre en considération votre mal-être, ce n'est pas en 10 jours que vous pouvez vous requinquer. N'hésitez pas à consulter des psys aussi car vous revenez de loin, votre corps avec votre mâchoire vous a dit stop bien avant aujourd'hui. Vous dites que vous êtes là pour votre mari, pourquoi ? Ne peut-il pas s'occuper de lui-même, ne peut-il pas aussi s'occuper de vos filles ? Car en plus de votre métier, vous semblez avoir beaucoup de charge mentale familiale sur votre dos.
J'ai l'impression que votre raz-le-bol est également lié à vos employeurs qui ne vous respectent pas. Faites une sélection radicale lors des prochains contrats si vous continuez, ne prenez que ceux qui vous respectent. Quitte à attendre ou que ce soit un contrat moins intéressant, je préfère vraiment choisir de bons parents avec qui j'ai le feeling pour ma part. Posez à plat ce que vous voulez et ce que vous ne voulez plus. Visiblement vous aimez accueillir des enfants, et j'ai l'impression que c'est le contexte ambiant que vous ne supportez plus. Si vous continuez le métier, il y a des choses qui resteront (les jouets, les cris par exemple) mais il y a beaucoup de choses qui peuvent changer (les appels intempestifs, les retards, les remarques désobligeantes etc.) en étant plus ferme ou en choisissant des parents plus respectueux.
Je me permets aussi une petite remarque, vous dites que vous ne pouvez pas démissionner. Là il n'en est pas question car le mieux est l'arrêt maladie pour vous, mais une fois requinquée, bien sûr que si vous pouvez démissionner. Il y a sans doute des choses à travailler sur vos peurs. Vous êtes à un carrefour de votre vie et vous le sentez. Bon courage chère collègue, après l'hiver arrive toujours le printemps.